Mise à
part cette phrase d’intro, vous ne trouverez pas les mot coronavirus, covid ou papier cul dans ce texte. Un congé bien mérité pour tous. Une oasis dans un désert de
science médicale, de Fake news, de complots et de surmédiatisation. J’écris
donc sans ressasser ces termes devenus trop fades.
Dans
la version la plus simple, il y quelques années quand j’ai orchestré mon
aventure avec le Lyme (pas le fruit mais le borrélia), j’ai vécu un court
moment de panique en associant la marque de la cible que j’avais dans le dos
avec une morsure de tique porteuse du défi de guérison. Le principal intérêt de
ce texte est ce court moment de panique, de crainte ou de peur.
J’en
ai pris conscience assez rapidement. Parfois, il m’arrive de faire semblant de
ne pas avoir peur avec différentes stratégies. Je figure cette habitude comme
une activité que nous commettons probablement tous, plus ou moins régulièrement.
Ce que j’aimerais partager, c’est que sans que j’arrive à me l’avouer, j’avais peur
du Lyme en me répétant consciemment ou non, que je ne me priverais pas de la
forêt, que j’essaierai d’avoir une attitude lumineuse ou reconnaissante en l’abordant... Je pense que vous me comprenez.
Pourquoi
cette approche a-t-elle alors réalisé la route inverse ?
Paracerque
l’intention réel était de nier la peur. Avoir
une intention de reconnaissance en laissant dormir la peur dans le chaud terreau
de l’inconscience est une semence très efficace. C’est plate à lire. Ça choque souvent.
Rassurez-vous, c’est normal et même divin cette irritation.
Le
plus gros miracle que j’ai vécu avec le Lyme n’est pas la guérison sans avoir
eu recours au protocole médical, ni aux antibiotiques. C’est de découvrir avec
étonnement une libération d’une peur complétement dissimulée sous quelques
stratégies pour la nier. Plus qu’une libération, je dirais une reconnaissance absolue
bercé d’un sentiment de liberté indescriptible. Une puissance. C'est la mort de la
peur du Lyme qui est survenu.
Alors
qu’en est-il de la panique actuelle dans ce passage qui ressemble à un premier chaos
mondial de l’ère moderne. Évidemment, les protocoles actuels ici au Québec, ne
sont pas là par crainte de la mort car il n’y en a peu au final (il y a suffisamment
de statistiques qui circulent en ce sens). Comprendre ou admettre que l’efficacité
de la propagation est indéniable n’est pas difficile. Qu’elle soit naturelle, réelle
ou fictive. Tirée de complot ou non, implantée par les médias, par des élites, par
une stratégie de peur, par une fabrication d’arme biologique relâché accidentellement
ou non. Tout ça importe peu. Il y a simplement quelque chose de contagieux en circulation dans l'humanité. Et ce n’est
pas cette expérience d’indisposition virale et de protocoles qui est la source
d’une forme de lourdeur ou d’hystérie collective. Soyons directs.
La peur de la souffrance, du manque, de la mort, de la misère, de la pénurie, l’incapacité à déceler une intention sombre, la peur de l'isolement, la perte de contrôle ou de liberté en est certainement la cause. La liste n’est surement pas complète, vous en trouverez d’autres. Bravo si c’est le cas. Soyons honnête avec nous-même. Surlignons clairement nos craintes personnelles et collectives sans craintes de les attirer. Le dévoilement ne les attire pas, c’est une fausse croyance. Car c’est encore une fois de les garder dans le terreau de l’inconscient qui demeure la meilleure méthode pour les faire germer. Alors courage, déterrons ces semences qui s’assècheront rapidement à la lumière du soleil de notre courage. C'est ce que je nous souhaite.
Un regard de compassion
Maintenant
que nous sommes rendu jusqu’ici, je présume que vous surmontez assez
aisément cette approche qui est probablement en résonance avec votre
cheminement. Nous pouvons donc aborder un autre rebondissement. Celle de la
panique pour certaines personnes qui déclenchent malgré eux, quelques conflits dans certains marchés pour certains produits. Je sais qu’en
observant de chez soi sur des réseaux, des images de gens paniqués, nous déroutent un peu. Il semble y avoir autant d’observateurs ahuris
que d’acteurs de ces scénarios. Au final, ce sont les mêmes personnages, mais à
plus ou moins un moment de leur vie ou de leur cheminement. Cette expérience de
panique est non seulement inévitable mais presque la seule qui permet d’emmagasiner
la honte de ;les avoir consommé. Conduisant espérons-le à un dégoût de soi-même en insufflant au
passage un désir d’une meilleure version de soi-même dans un proche avenir. Qu’une grande quantité de
personnes trébuchent et touchent publiquement le point culminant de leur panique ou de leur frustration, est une
grande porte qui s’ouvre enfin vers la libération d’une image trop longtemps englouti
sous des décombres d’intentions parfois mal emballés.
Le
droit à son moment de panique. Le droit de se dévoiler publiquement sous l’œil de
plusieurs témoins et de quelques cellulaires allumés. Le démantèlement du
déguisement qu’était, il n’y a pas si longtemps, le bon voisin prévenant. La
honte engrangée après ces quelques expériences de panique individuelles et collectives, fera ressortir une
envie de bonté réelle et insoupçonnée par l’expérienceur lui-même et qui sera
une bénédiction pour notre humanité en devenir. Qui sait, les pires seront
peut-être les meilleurs dans la prochaine étape à venir. Souhaitons-le.
Il
arrive bien sûre de vivre des situations que nous n’avons jamais imaginé et qui
nous prend par surprise. Accepter sa réaction abêtie (si c’est le cas selon
notre perception) est probablement une humiliation difficile à simplement s’accorder
mais elle est à mon sens, tout de même efficace en tenant compte qu’elle se dépose
dans notre banque d’expériences similaires qui nous servira divinement dans pas
si long. Alors l’échec n’est pas un échec. Une simple partie remise.
Une tournée dans un monde complotiste
(Vous pouvez arrêter votre lecture ici, ce qui suit n’a
peut-être aucun sens évolutif pour vous)
Ça c’est
intéressant. Ici ce
n'est pas pour donner crédit aux exténuantes théories du complot ni pour les
amoindrir. Mais allons faire une tournée là-dedans pour arrêter de rester
en surface. Parce que là, je ne sais plus si nous sommes en révolution de la 5G
ou à l’ascension de la 5D.
Certain
se demande quel est l’intention de ce mouvement mondial. S’il s’agit bien sûre d’une mascarade
orchestrée.
Peut-être
la vaccination obligatoire qui se pointe comme certains l’ont déjà soulevé ? Mais
ça na s’arrête pas là. Dans ce cas-ci, il est primordial d’aller plus loin. Car il est inutile
de créer un tel branle-bas mondial pour une simple vaccination obligatoire.
Qu’elle
est d'abord l’agenda d’une vaccination obligatoire ?
En
général, dans la vision complotiste, ça se passe comme ça :
1- Apparition
d’un danger potentiel (réel ou fictif, pas important mais on est dans le
complot volontairement là)
2- Diffusion
des premiers cas.
3- Déni
de la propagation
4- Déclaration
officielle de la Propagation
5- Angoisse
programmé et/ou involontaire
6- Protocoles
progressifs
7- Protocoles
éprouvants
8- Annonce
d’une solution vaccinale possible
9- Annonce
d’un vaccin efficace
10- Annonce
d’une pénurie de vaccins (dans le but de faire élever le désir du vaccin)
11- Annonce
du vaccin obligatoire.
Mais
une vaccination obligatoire juste pour le trippe d’un vaccin obligatoire, ce n’est
pas un but.
Que
va-t-il se passer d’après vous ?
Comment
vont réagir et que vont faire les anti-vaccins ?
Comment
les pro-vaccins vont réagir face à la réaction des anti-vaccins ?
Comment
vont être calomniés les anti-vaccins ?
Ce n’est
pas le virus, ni le vaccin qui est en cause. C’est le débat sur l’obligation vaccinale. C’est un déchirement entre une philosophie
de pensée contre une autre qui se prépare. Une guerre sans armes. Un
déchirement imprévu. Une colère insoutenable d’un camp contre une colère
insoutenable dans l’autre. Un gouvernement avec la menace d’une DPJ, d’une
armée de médecins, de militaires et de policiers contre les dénaturés et
dangereux anti-vaccins. Pourtant comme le dit une amie : <Mais si le
vaccin est si efficace, qu’ont dont à craindre les vaccinés ?>
Ça
sens pas bon ce qui approche. Je ne crains nullement le virus, ni le vaccin en
tant que tel. Je ne suis pas dérouté par la réaction de panique presque violente de notre peuple ici, pas
surpris en fait. Mais la guerre entre pro-vaccins et anti-vaccins sera cruel et
elle le sera dans un but sombre qu’il reste à déchiffrer.
Vers où nous conduit tout ceci ?
Vers où nous conduit tout ceci ?
Isoler
et casser les récalcitrants ?
Une expérience d'isolement face à nous-même ou avec nos proches ?
Une expérience d'isolement face à nous-même ou avec nos proches ?
Une
évaluation du comportement de l’humanité en situation de crise ?
Préparer
l’humanité à l’annonce d’une réalité extraterrestre ?
Aucun
agenda mais simplement la résultante de notre création et de nos expériences ?
La
réponse de dame nature face au virus qu’est devenu l’humanité ?
Tout
ceci n’est que réflexion. Peut-être un ressenti.
Quelques
mois nous donneront des réponses...
Jean-Bruno
Gagnon
Alchimiste en musique inspirant
l'Auto-Guérison