dimanche 9 mai 2021

Le Chant de la Sirène - Processus d’une nouvelle mélodie empreinte la journée des mères

Nous avançons à l’entrée de ce qui est un rendez-vous à un rassemblement où nature, cohabitation, art et musique seront célébrés autant de jour que de nuit. Nous sommes arrivés à l’entrée. Je suis avec Ève et probablement Charles avec son violon mais il me semble très jeune dans cette scène car voyez-vous, je vous raconte l’état de réveil et de rêve en ce 9 mai 2021 jour des mères.



À l’accès, un gardien demande de ne pas entrer avec le violon, il le conservera dans la camionnette juste à côté. Je comprends rapidement que l’on veut éviter des concerts improvisés trop cacophoniques d’une place à l’autre. Je tente de lui expliquer que notre ami fait parti de la prestation du soir mais le gars semble embêté ne sachant trop quoi faire. Bref! Nous avançons dans ce territoire rempli de verdure, de sentiers et d’habitations. Nous sommes bien, très bien, entre le jour et la nuit.  Je perds Ève de vue qui s’évapore dans ce décor qui inspire la liberté. Je me perds moi-même et dépose dans un endroit un peu secret l’instrument que j’apportais avec moi (peut-être le violon du peut-être Charles, c’est pas claire). En repassant sur mon chemin après quelques aventures brumeuses en promenade, je ne me souviens plus où j’ai mis l’instrument. Je suis embêté et peiné.

 

Le miracle de la création

Je me réveil en semi-coma. Là, il se produit ce qui m’arrive rarement en création de nouvelles mélodies. La mélodie qui parcourait mon rêve est disponible, là dans ma tête et ma mémoire. C’est intense et magnifique. Il y’a le piano en frappe aux mesures, le violon en arpège et la voix de Ève haute en chant de sirène. Je dois refaire jouer le souvenir dans ma tête car celui-ci s’évanouira dans pas long. J’ai tendance à vouloir me rendormir, c’est facile et tentant. Je me lève déterminé à ne pas laisser passer l’occasion. Je suis loin de la musique, trop loin depuis que je fais de la vidéo.

 

Le chant de la sirène



Il y’a un mois, j’ai échangé avec Ève sur le processus de ma nouvelle complice de radio Chantal Goupil qui a partagé un rendez-vous radio suivant le mien avec Jean Casault à l’émission Zone Parallèle plutôt animé en général par Carole Lauzé :

https://969fm.ca/emissions/zone-parallele/zone-parallele-10-avril-2021


Devant ce que je lui racontais de l’histoire de Chantal, son livre à venir et son titre : Le Chant de la Sirène *  Ève me dit : Wow! Ça ferait un beau titre de musique. Bang! Il ne m’en fallait pas plus. Sur le champs, j’ai été envahi par une forte pulsion de créer quelques créations inspirées. Depuis un mois, je me dis que je vais partager tout ça à Jean et Chantal. Bon, chose que je fais aujourd’hui finalement. On n’arrête pas la création son moment venu...

* Le Chant de la Sirène paraît le 3 Novembre 2022 au Québec aux Éditions Louise Courteau dans la série Ufologie profonde que dirige Jean ici au Québec.

COLLECTION UFOLOGIE PROFONDE


Un effort généré par la volonté de la créativité

Je me lève donc. Mes sous-vêtements sont disparus. Ça urge, je n’ai pas beaucoup de temps, la mélodie s’évanouira. J’en prend de nouveaux et pas le temps de mettre autre chose. Zut! Mon clavier n’est pas branché. Je lui avais emprunté sa rallonge. Je m’en occupe tantôt, je ne dois pas perdre l’orchestration (dont les accords, l’ambiance et le Processus me font penser à Jessia-Le langage du Divin) :

https://youtu.be/C5p_y2MUabc


Et c’est tant mieux car si je n’arrive pas à la bonne note sur le piano, je risque de faire s’évanouir la majorité du contenu subtil en une seule erreur. Je saisi mon micro électronique et en voix secrète doucement, je tente de retrouver des graciles d’accords et de mélodies. J’augmente l’intensité en m’assurant de ne pas être défaussé. Je réussi assez bien, je tente le coup au piano. L’enregistrement étant sécurisé, je ne peux plus perdre le principal. Je rebranche le clavier. Je retrouve à l’aide de l’accordeur en quelle tonalité j’ai saccagé la mélodie de ma voix cette nouvelle orchestration. C’est en Fa dièse (ou sol bémol, c'est la même chose Jean). Je reconnais effectivement les accords de Jessia mais dans une autre tonalité. 

Après une pause trop longue, le médium inspiré comme aime bien le commenter Jean, se remettra sous peu en Connexion à la Création pour répondre à ce besoin vital de la communauté en manque de beauté et de paix du cœur... Question de guérison.

Un extrait à venir bientôt.

 

Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

www.musicdream.ca

jeudi 11 mars 2021

Une ombre sur la route

Le 14 septembre 2013 vers 10h00 du soir nous (moi et la personne que je nommerai la conductrice) avons assisté à un événement étonnant sur la route. Devant le spectaculaire de la situation, j’ai eu la vitesse d’esprit de proposé à la conductrice avec qui j’étais dans la voiture (accompagné de ces deux enfants), d’écrire en arrivant chacun de son côté avec le plus de précision possible ce que nous avons vus et vécus sans se consulter.

Nous avons vécu un certain étonnement à lire chacun de nos descriptions. Ils n’ont pas été modifiés pour essayer de les rendre concordants ou pour toutes autres intentions quelconques. Je n’aurais probablement jamais raconté publiquement cette histoire si j’aurais été seul. Un simple partage avec la conductrice m’aurait probablement suffi. Seul, j’avais la sensation vécue et le ressenti (assez fiable dans mon cas) mais pas une vision nocturne aussi valable que la conductrice. Le complément des deux et le double témoignage rend l’expérience intéressante à partager. J’ai essayé de faire un montage photo avec les moyens du bord. Ce n’est pas la bonne forme (un dragon sur le montage) mais bon. Nous pouvons quand même nous imprégner de l’effet.



L’expérience d’écrite par la conductrice

Par cette nuit fraîche de mi-septembre, de retour d’une fête entre FRELISBURG et ABERCORN un étrange phénomène se produisit. Il est environ 9 30 – 10 00 pm. Quelques minutes, pour ne pas dire secondes avant, Jean-Bruno me fait la demande de ralentir la vitesse du véhicule alors que je ne sens pas que je vais trop vite. Une remarque qui d’ailleurs me surprend étant donné que très rarement, sur une route pareille, Jean-Bruno me suggère une telle chose! J’acquiesce et ralentie, nous sommes sur une route de campagne qui serpente les vignobles de la région. C’est une nuit étoilée, mi-croissant de lune, nous voyons bien la route et les alentours. La brume est sur le point de se lever mais nous ne sommes pas encore entourés par elle.

Puis passe devant la voiture (15 pieds environs) cette chose (de la grosseur d’un chien de grosse race) mais ce n’est pas un animal, en fait cela ressemble à une ombre, elle ne se déplace pas en courant, elle glisse très rapidement à quelques centimètres du sol. Je sais que j’ai vue quelque chose. Avoir été seul je me serai dit, afin de ne pas confronter ce que j’ai vue, oh j’ai dû rêver… Mais j’ai vue quelque chose se déplacer à grande vitesse et j’ai des frissons qui me montent dans le dos, je ne peux renier. Genre de fantôme que l’on peut voir dans les films de peurs. Un ombre noir, sans matière.

Quelques secondes passent, j’ai encore les frissons sur les bras, lorsque Jean-Bruno et moi parlons de ce que nous avons vues. Oui nous nous confirmons la chose. Nous avons bien assisté à quelque chose de fantastique-inexplicable…

Ouf! J’ai le désir de faire des rencontres de IS (mondes subtils, etc.) mais lorsque le surnaturelle se passe devant ses propres yeux non pas par un intermédiaire de style : « Une amie à moi à vue telle ou telle chose ». Eh bien, l’expérience est bien différente. Ce n’était qu’une ombre de quelque chose d’inexplicable de 2-3 sec qui passe devant la voiture. J’imagine très bien une expérience d’une rencontre extra-terrestre et bien OUF! Les petits frissons doivent être exponentiels malgré le fait que je travaille à ouvrir mon cœur à n’importe quelle rencontre car je désir être dans l’accueil total à ses êtres venues d’ailleurs.

 

L’expérience d’écrite par Jean-Bruno

Nous revenions d’une réception d’un ami dans la région du Lac Champlain. Nous étions donc sur une route secondaire en direction de Sutton. Il était aux environs de 10h00 le soir. La température était d’environ 12ᵒ Celsius. Le temps était au dégagement après un matin de pluie. Il avait donc un peu de brume de temps à autre sur la route. J’étais dérangé par la vitesse de la conductrice, tout le contraire que d’habitude. C’était étrange, je craignais une collision, j’en avais presque des visions. J’ai demandé alors formellement à la conductrice de ralentir immédiatement. Nous vivons maintenant avec assez d’acceptation ces ressentis intérieurs qui sont parfois assez intense chez moi. Le ralentissement m’a déstressé et nous avons assisté avec surprise au passage d’une ombre étrange qui traversa la rue de notre gauche vers la droite dans une fluidité surprenante. Sa distance était environ de 30 à 20 pieds en avant de nous. Considérez que nous nous en approchions légèrement étant donné que nous avancions en sa direction. Pas beaucoup cependant vue sa vitesse de passage. Cette ombre avait la forme animale. Je la qualifierais d’un mélange de chien, chat, renard assez plat mais plus long. Sa traversée était légèrement oblique. Les détails surprenants :

1-) Sa vitesse et sa course rectiligne n’épousant pas les dénivellations des différentes surfaces.

2-) La forme n’avait pas de mouvement de course au niveau des pattes, elle glissait et semblait flotter. Je n’ai vu se mouvoir aucune verdure ou arbustes.

3-) Sa couleur était totalement unie de couleur noir charbon. Elle me semblait même presque en 2D tellement il n’y avait pas de contraste de couleur sur la forme (pas de poil ou de texture visible) Étant donné sa rapidité, je ne suis pas certain d’une certaine transparence malgré sa couleur noire.

J’ai ressenti une surprise, un figement presqu’un désir d’incertitude, restant en suspension sans respirer attendant que la conductrice confirme quelque chose étant donné qu’elle a meilleure vision que moi. Mise à part l’effet d’étonnement, je n’ai ressenti aucune peur (ma condition personnelle d’évolution est à prendre en considération car mon cheminement m’a conduit à être libre de ce genre de peur. Ce qui surprend encore la conductrice. Je raconterai pourquoi dans une autre expérience). Admettons donc que ce genre d’expérience donne froid dans le dos. Je sais que nous étions en voiture les fenêtres fermées mais j’ai le sentiment ou la certitude que la traversée de cette ombre ne faisait aucun bruit. Je parle du bruit physique en tant que tel (pas, sabots, etc.) car si elle émettait un son par elle-même style grognement, je n’en sais rien. 

 

Les Différences entre nos récits 

La distance : 15 pieds pour la conductrice – De 30 à 20 pieds pour Jean-Bruno

Ce n’est pas le point fort de la conductrice d’évaluer les distances en pieds. Elle m’a demandé dans le passage de la maison à combien de pieds représentait une distance de nous a une porte. Je connais l’illusion d’optique des différences de grandeur entre l’intérieure et l’extérieure.

Comme le début du passage de l’ombre nous étions immanquablement plus éloignés, j’évalue la distance à un maximum de 30pieds. J’évalue donc aussi au plus près de nous (au moment de la disparition de l’ombre dans la verdure) à environ 20 pieds. Notre vitesse devenue décroissante était environ de 55km/hr (à la suite de ma demande, nous venions de passer de 85km/hr à 55km/hr).

Légèrement oblique pour Jean-Bruno – perpendiculaire pour la conductrice

La conductrice n’a simplement pas remarqué cet élément qui pour moi est un souvenir bien remarqué. C’était un angle d’environ 15ᵒ pas plus, pratiquement perpendiculaire.

Nuit étoilée, éclairée par la lune pour la conductrice – Nuit au dégagement, un peu de brume de temps à autre pour Jean-Bruno

Je ne dis pas qu’il y avait de la brume au moment de l’expérience, je me fie à la vision et à la mémoire de la conductrice là-dessus car la nuit pour moi c’est toujours un peu brumeux. Mais il est certain que nous avons rencontré de la brume en arrivant sur la 139 direction nord près de Sutton et qu’il n’y en avait pas ou très peu à l’endroit de notre expérience.

  

Qu’elle était donc cette manifestation ? 

Mon impression est qu’il est possible qu’un chevreuil venait de traverser la route de droite à gauche (sens inverse de l’ombre) et que si nous n’avions pas ralenti, nous l’aurions percuté. Je pense donc que mon ressenti exprimé et qui a conduit à modifier notre mouvement, a également modifié notre histoire. Je pense que l’ombre de la mort accompagnait notre expérience et que cet ombre, s’est retourné en direction opposé étant donné l’intervention par une autre énergie subtile. Soit la mise en matière du ressenti. La conductrice a bien répondu à cette explication.

Avant de lui demander de ralentir, j’ai eu comme la sensation d’une collision avec un animal et que David (un des deux enfants) était en risque. Ce qui est étonnant, c’est qu’une heure auparavant, j’ai pris une photo de David (au piano dehors) et qui s’est mystérieusement retrouvé dans une bulle de lumière non visible en prenant la photo.

(Photo de David quelques heures avant l'événement)

Petit roi David, ce soir-là un ange est venu apporter sa protection. Il m'a montré un avenir possible. J'ai modifié alors notre présent et l'ombre s'est enfuit dans la forêt. Le soir sur la route, je n'ai pas osé exprimer à la conductrice la vision ou sensation que j'ai eu juste avant. La sagesse m'a guidé à ne pas créer un choque émotif superflu à la mère. Le subtil et l'intuitif sera toujours la voix de notre divinité à chacun. Nous avons le devoir de l'honorer au premier plan et de caser le cartésien dans un espace secondaire, là où est sa vraie place.


Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison