samedi 14 mars 2020

Le Bonheur d’un éveil collectif




Mise à part cette phrase d’intro, vous ne trouverez pas les mot coronavirus, covid ou papier cul dans ce texte. Un congé bien mérité pour tous. Une oasis dans un désert de science médicale, de Fake news, de complots et de surmédiatisation. J’écris donc sans ressasser ces termes devenus trop fades.

Dans la version la plus simple, il y quelques années quand j’ai orchestré mon aventure avec le Lyme (pas le fruit mais le borrélia), j’ai vécu un court moment de panique en associant la marque de la cible que j’avais dans le dos avec une morsure de tique porteuse du défi de guérison. Le principal intérêt de ce texte est ce court moment de panique, de crainte ou de peur.

J’en ai pris conscience assez rapidement. Parfois, il m’arrive de faire semblant de ne pas avoir peur avec différentes stratégies. Je figure cette habitude comme une activité que nous commettons probablement tous, plus ou moins régulièrement. Ce que j’aimerais partager, c’est que sans que j’arrive à me l’avouer, j’avais peur du Lyme en me répétant consciemment ou non, que je ne me priverais pas de la forêt, que j’essaierai d’avoir une attitude lumineuse ou reconnaissante en l’abordant... Je pense que vous me comprenez.

Pourquoi cette approche a-t-elle alors réalisé la route inverse ?
Paracerque l’intention réel était de nier la peur. Avoir une intention de reconnaissance en laissant dormir la peur dans le chaud terreau de l’inconscience est une semence très efficace. C’est plate à lire. Ça choque souvent. Rassurez-vous, c’est normal et même divin cette irritation.

Le plus gros miracle que j’ai vécu avec le Lyme n’est pas la guérison sans avoir eu recours au protocole médical, ni aux antibiotiques. C’est de découvrir avec étonnement une libération d’une peur complétement dissimulée sous quelques stratégies pour la nier. Plus qu’une libération, je dirais une reconnaissance absolue bercé d’un sentiment de liberté indescriptible. Une puissance. C'est la mort de la peur du Lyme qui est survenu.

Alors qu’en est-il de la panique actuelle dans ce passage qui ressemble à un premier chaos mondial de l’ère moderne. Évidemment, les protocoles actuels ici au Québec, ne sont pas là par crainte de la mort car il n’y en a peu au final (il y a suffisamment de statistiques qui circulent en ce sens). Comprendre ou admettre que l’efficacité de la propagation est indéniable n’est pas difficile. Qu’elle soit naturelle, réelle ou fictive. Tirée de complot ou non, implantée par les médias, par des élites, par une stratégie de peur, par une fabrication d’arme biologique relâché accidentellement ou non. Tout ça importe peu. Il y a simplement quelque chose de contagieux en circulation dans l'humanité. Et ce n’est pas cette expérience d’indisposition virale et de protocoles qui est la source d’une forme de lourdeur ou d’hystérie collective. Soyons directs.

La peur de la souffrance, du manque, de la mort, de la misère, de la pénurie, l’incapacité à déceler une intention sombre, la peur de l'isolement, la perte de contrôle ou de liberté en est certainement la cause. La liste n’est surement pas complète, vous en trouverez d’autres. Bravo si c’est le cas. Soyons honnête avec nous-même. Surlignons clairement nos craintes personnelles et collectives sans craintes de les attirer. Le dévoilement ne les attire pas, c’est une fausse croyance. Car c’est encore une fois de les garder dans le terreau de l’inconscient qui demeure la meilleure méthode pour les faire germer. Alors courage, déterrons ces semences qui s’assècheront rapidement à la lumière du soleil de notre courage. C'est ce que je nous souhaite.


Un regard de compassion


Maintenant que nous sommes rendu jusqu’ici, je présume que vous surmontez assez aisément cette approche qui est probablement en résonance avec votre cheminement. Nous pouvons donc aborder un autre rebondissement. Celle de la panique pour certaines personnes qui déclenchent malgré eux, quelques conflits dans certains marchés pour certains produits. Je sais qu’en observant de chez soi sur des réseaux, des images de gens paniqués, nous déroutent un peu. Il semble y avoir autant d’observateurs ahuris que d’acteurs de ces scénarios. Au final, ce sont les mêmes personnages, mais à plus ou moins un moment de leur vie ou de leur cheminement. Cette expérience de panique est non seulement inévitable mais presque la seule qui permet d’emmagasiner la honte de ;les avoir consommé. Conduisant espérons-le à un dégoût de soi-même en insufflant au passage un désir d’une meilleure version de soi-même dans un proche avenir. Qu’une grande quantité de personnes trébuchent et touchent publiquement le point culminant de leur panique ou de leur frustration, est une grande porte qui s’ouvre enfin vers la libération d’une image trop longtemps englouti sous des décombres d’intentions parfois mal emballés.

Le droit à son moment de panique. Le droit de se dévoiler publiquement sous l’œil de plusieurs témoins et de quelques cellulaires allumés. Le démantèlement du déguisement qu’était, il n’y a pas si longtemps, le bon voisin prévenant. La honte engrangée après ces quelques expériences de panique individuelles et collectives, fera ressortir une envie de bonté réelle et insoupçonnée par l’expérienceur lui-même et qui sera une bénédiction pour notre humanité en devenir. Qui sait, les pires seront peut-être les meilleurs dans la prochaine étape à venir. Souhaitons-le.

Il arrive bien sûre de vivre des situations que nous n’avons jamais imaginé et qui nous prend par surprise. Accepter sa réaction abêtie (si c’est le cas selon notre perception) est probablement une humiliation difficile à simplement s’accorder mais elle est à mon sens, tout de même efficace en tenant compte qu’elle se dépose dans notre banque d’expériences similaires qui nous servira divinement dans pas si long. Alors l’échec n’est pas un échec. Une simple partie remise.


Une tournée dans un monde complotiste
(Vous pouvez arrêter votre lecture ici, ce qui suit n’a peut-être aucun sens évolutif pour vous)



Ça c’est intéressant. Ici ce n'est pas pour donner crédit aux exténuantes théories du complot ni pour les amoindrir. Mais allons faire une tournée là-dedans pour arrêter de rester en surface. Parce que là, je ne sais plus si nous sommes en révolution de la 5G ou à l’ascension de la 5D.
Certain se demande quel est l’intention de ce mouvement mondial. S’il s’agit bien sûre d’une mascarade orchestrée.
Peut-être la vaccination obligatoire qui se pointe comme certains l’ont déjà soulevé ? Mais ça na s’arrête pas là. Dans ce cas-ci, il est primordial d’aller plus loin. Car il est inutile de créer un tel branle-bas mondial pour une simple vaccination obligatoire.
Qu’elle est d'abord l’agenda d’une vaccination obligatoire ?

En général, dans la vision complotiste, ça se passe comme ça :


1-  Apparition d’un danger potentiel (réel ou fictif, pas important mais on est dans le complot volontairement là)
2- Diffusion des premiers cas.
3- Déni de la propagation
4-  Déclaration officielle de la Propagation
5-  Angoisse programmé et/ou involontaire
6- Protocoles progressifs
7- Protocoles éprouvants
8- Annonce d’une solution vaccinale possible
9- Annonce d’un vaccin efficace
10- Annonce d’une pénurie de vaccins (dans le but de faire élever le désir du vaccin)
11- Annonce du vaccin obligatoire.

Mais une vaccination obligatoire juste pour le trippe d’un vaccin obligatoire, ce n’est pas un but.
Que va-t-il se passer d’après vous ?
Comment vont réagir et que vont faire les anti-vaccins ?
Comment les pro-vaccins vont réagir face à la réaction des anti-vaccins ?
Comment vont être calomniés les anti-vaccins ?
Ce n’est pas le virus, ni le vaccin qui est en cause. C’est le débat sur l’obligation vaccinale. C’est un déchirement entre une philosophie de pensée contre une autre qui se prépare. Une guerre sans armes. Un déchirement imprévu. Une colère insoutenable d’un camp contre une colère insoutenable dans l’autre. Un gouvernement avec la menace d’une DPJ, d’une armée de médecins, de militaires et de policiers contre les dénaturés et dangereux anti-vaccins. Pourtant comme le dit une amie : <Mais si le vaccin est si efficace, qu’ont dont à craindre les vaccinés ?>

Ça sens pas bon ce qui approche. Je ne crains nullement le virus, ni le vaccin en tant que tel. Je ne suis pas dérouté par la réaction de panique presque violente de notre peuple ici, pas surpris en fait. Mais la guerre entre pro-vaccins et anti-vaccins sera cruel et elle le sera dans un but sombre qu’il reste à déchiffrer.
Vers où nous conduit tout ceci ?
Isoler et casser les récalcitrants ?
Une expérience d'isolement face à nous-même ou avec nos proches ?
Une évaluation du comportement de l’humanité en situation de crise ?
Préparer l’humanité à l’annonce d’une réalité extraterrestre ?
Aucun agenda mais simplement la résultante de notre création et de nos expériences ?
La réponse de dame nature face au virus qu’est devenu l’humanité ?
Tout ceci n’est que réflexion. Peut-être un ressenti.
Quelques mois nous donneront des réponses...

Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

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