Je ne sais pas combien de personnes je ferai réagir et
quelles genres de réactions je stimulerai. Déjà, ceux qui ont eu vent de la
rumeur discutent fort entre eux. Quoi qu’il en soit, j’ai le privilège d’être
officiellement porteur de la maladie de la Lyme. Il y a plusieurs souches, j’ai
la meilleure. Celle que tous redoutent. Celle qui peut vous paralyser la moitié
du visage, vous apporter d’affreux maux de tête, de l’arthrite et alterner
jusqu’à la sclérose en plaque. Ici même à Sutton au domaine Gagné. Cartier
privilégié prospère, garni d’asphalte et de gazon vert partout coupé style
terrain de golf. Je ne suis pas sortie de l’été, nous venons d’aménager. Je
suis resté chez moi, aucun voyage. Je me suis contenté d’aller chez notre amie
Eli à Sutton pour peindre sa maison. Ouvrir avec mon ami Raf un centre
communautaire au milieu du village. C’est tout. Vaut mieux que ma communauté
soit bien informée. Ce n’est pas ailleurs, c’est bien ici. Ici même nous sommes
la région au Canada où l’on retrouve le plus ce migrateur. Nous avons de plus,
la saison idéale, un été qui se prolonge, un mois d’août qui ressemble au mois
de juillet.
Je vous annonce également que je n’ai aucun intérêt pour
les antibiotiques vers lesquels la masse collective galope devant cet
envahisseur décrit maléfique. Je n’ai aucun intérêt non plus pour la panique si
bien orchestrée par la science médicale et son complice de toujours la
pharmacopée et ces génies du marketing. Les circonstances ont fait que j’ai pu
identifier et officialiser la bête et sa marque que l’on appelle dans le milieu
: la cible. (Image)
Aucun moyen de fuir un diagnostic aussi déterminant. La
tique à patte noir s’est bien orchestrée dans ma vie et dans mon corps pour me
livrer sa précieuse marchandise apportant son lot de possibilités d’éveil et de
conscience. C’est aussi parce que j’avais le terrain (corps interne) et les circonstances pour
l’accueillir. C’est presqu’un rendez-vous. C’est le mien et celui de personne
d’autre. Un signal pour m’inviter à
retrouver la régénérescence de mon être. Tout est une question de peurs ou
d’insouciance. Les deux sont l’extrémité d’une même clôture sur laquelle nous
faisons semblant de trouver un trou pour s’en sortir. Il n’y a que cela.
Je ne jouerai pas au jeu de la panique ou de la fuite
devant ce qui semble être un envahisseur. Je l’accueil et le remercie
grandement d’avoir déclenché chez moi quelque chose qui ressemble plutôt à un
épisode. À une sortie d’un long sommeil. À des rencontres imprévues avec
différents humains passionné de leurs connaissances acquises. Autant les
spécialistes virologues, les pharmaciens, les naturo, les blogueurs que ceux
qui ont ou ont eu, le mal silencieux. Je vais expérimenter directement avec
vous au cours des prochaines semaines sans censures, mes résultats et
sensations. Je serai le fou de service qui marchera dans ce chemin pour créer
un passage. Car c’est bien pour cela que je choisi d’entendre la voie
intérieure. Je pense que la majorité des malaises que nous avons (même des
cancers), arrivent et disparaissent sans même que nous ayons pu constater leurs
présences de façons définitives ou même d’avoir eu le temps de leur donner un
nom. Nous trouvons souvent le courage de régler une situation sclérosée et les
données pathogènes se transforment sans trop que nous ayons eu conscience du
mal en devenir. Ce n’est pas toujours le cas. Parfois le nom, l’identification
et le remède même chimique est ce qui apporte la solution. C’est toujours le chemin
qui importe. Après tout, nos méthodes de consommations et de cultures qui
consistent à tirer sur la laitue pour qu’elle pousse plus vite à surement des
effets non prévu du côté de notre développement biologique naturel.
Je n’ai pas envie de saboter une occasion mis en place par
la sagesse de la syncronicité qui est le langage du divin. J’ai un lien de
contact avec la connaissance des autres et nous la partageons abondamment.
Aussi bien en faire un outil de conscience arrivé à maturité. D’ici quelques mois
ou peut-être quelques années, nous aurons une vision claire des méthodes
alternatives. Ce ne sera pas un possible canular sur le Web parcourant
Facebook. Cette bactérie est coriace, intelligente et déjoue l’organisation
immunitaire. C’est de la nano technologie vivante. Nous verrons bien. C’est
peut-être avec le corps en douleur et le visage à moitié fonctionnel que je
vous direz : ne grâce ne faîtes pas comme moi, j’ai été idiot, prenez des
antibio au plus vite. Dans le cas contraire, j’irai probablement rejoindre aux
oubliettes les milliers de cas qui ont accompli quelque chose. Alors,
probablement, la majorité sortira son arsenal d’argumentation de «Oui mais» ou
tournera le regard. J’ai porté réflexion à cette habitude humaine. La raison
est que nous avons peur. Et encore plus de l’avouer. Puisque anesthésiée, elle
revient dans un champ d’action insurmontable. La peur est pourtant ce qu’il y a
guérir. Rien de plus.
Il y a quelque chose de gros et de dissimulé dans cette
«tiquerie». Vous seriez surpris et choquez. Il faut poser la question. Pourquoi
en même temps, la solution antibiotique est-elle aussi difficile à avoir,
est-elle aussi trop courte pour être efficace et assurer un résultat définitif?
Pourquoi les médecins aussi silencieux, hésitants et les tests aussi
contradictoires? Pourquoi tous ceux qui ont trouvé des remèdes efficaces et
définitifs sont-ils systématiquement éliminé du marcher? Vous n’aimez pas ces
questions? Demandez-vous pourquoi vous ne les aimez pas. C’est peut-être ça la
petite voie…
Je livrerai régulièrement des articles, des mises à jour
qui aurons toujours le même titre «Le silence de La Lyme» mais avec un
sous-titre ou un numéro. Le prochain. Je décris l’historique jusqu’à la
découverte officielle du diagnostic.
merci pour ce témoignage qui m,amène plus près de NOus et de mon pouvoir divin...bienvenue petite lyme nous allons jazzer ensemble...
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