samedi 19 juillet 2025

Processus de « Cumanà – Unifier Cœur et Esprit »

Pour obtenir gratuitement la Clef de Guérison en format MP 3 de qualité
Cliquez ici : CLEF DE GUÉRISON
Contact : musiquedereve@live.ca


Cumanà à l’honneur d’être la première ville fondée par les espagnols dans le continent américain en 1521. Son nom dans la langue des indiens qui habitaient la région, veut dire : L’union de la mer et de la rivière.



Au cours de l’automne 2012 j’ai vécu une expérience qui m’a bousculé. Je me suis réveillé en pleine nuit avec le souvenir d’une flûte que j’ai toujours trouvé étrange et que j’apportais parfois avec moi (dans mon sac à dos en canevas) avec l’espoir de parvenir à en jouer lors de nos soirées improvisées au tour du feu. J’ai pris conscience que je n’avais pas beaucoup pris soin de cette flûte insolite. J’étais contrarié de ne pas savoir comment en jouer. J’ai même presque souhaité l’oublier dans les herbes ou la donner parce que je n’arrivais pas à saisir son fonctionnement.
Spontanément après ce réveil, je savais maintenant le fonctionnement de cette étrange flûte. Je me suis réveillé ébranlé avec une profonde peine comme il ne m’est jamais arrivé d’en vivre pour un objet matériel. Je vivais un mélange de colère de ma négligence. Mon émoi était tellement puissant que je me suis levé pour chercher pendant 2 heures toutes les boîtes possibles de la maison où j’aurais pu la ranger (nous avions déménagé souvent et encore beaucoup de chose se trouvaient dans des boîtes). J’ai continué mes recherches le lendemain et plusieurs jours mais en vain. Pendant 2 semaines je me suis interrogé sur mes souvenirs. L’avais-je donné ? L’avais-je égaré ? Perdu ?
Par moment, il m’arrivait d’avoir des doutes sur la réalité de ces souvenirs, puis les minutes suivantes : « Mais non voyons, je m’en souviens très bien… » Sa texture, sa forme, sa couleur, son vernis quelque peu écalé à certain endroit et aussi de mon sac à dos en canevas vert (que j’ai eu effectivement plusieurs années durant). Je suis devenu presque obsédé par ce souvenir. Après trois semaines, j’ai déduit que cette nuit-là, j’ai été empreint d’un souvenir.
Par qui, par quoi et pourquoi, je ne le savais pas. Rien de bien malfaisant. Rien avoir non plus avec un rêve oubliez ça. Après 15 secondes de réveil, c’est bien assez pour savoir que l’on vient de se sortir d’un rêve. Mais aucun rêve ne vous amène à vous lever drastiquement et si activement au milieu de la nuit. Et encore moins pour continuer des recherches pendant plusieurs semaines quasiment comme un zombi.


La mise en action






Je me suis mis à dessiner cette flûte (ci-haut) à partir du souvenir que j’en avais. Les jours qui ont suivis n’ont pas réduits les éléments mystiques. Je me retrouvais maintenant avec la tâche de concevoir cette flûte et d’en jouer uniquement le 21 décembre 2012 à 3h33 du matin au bord de la rivière qui se trouve derrière notre maison (Estrie, Québec). La fameuse date de toutes les fins du monde. Pourtant je sentais bien qu’il ne se passerait pas grand-chose à cette date archi-médiatisée. 

Pourquoi au bord de la rivière à cette date?

Le 21 décembre au Québec, « Y fait frète » tout est gelé !!!

À n’y rien comprendre…

Après avoir effectué le dessin, j’ai passé la nuit à recevoir ce genre d’indications. Une histoire qui contraste avec nos habituels quotidiens dépourvus de magie.


L’artisan miracle

J'ai raconté mon histoire à un ami que je considère magicien tellement il a le don de fabriquer des choses inusités là où la majorité abandonne. Christian-Maurice Duval ne semble pas avoir de limite pour la mise en matière de chose aussi complexe que délicate. C’était un défi à la grandeur de ses capacités. Il a accepté cette tâche même s’il n’avait jamais fabriqué d’instrument de sa vie actuelle. Ni lui, ni moi ne savions dans quels matériaux nous devions concevoir cette bizarrerie, ni ses dimensions précises. Je pouvais lui montrer la grandeur d’ouverture que ma main avait quand je tenais l’instrument (car le souvenir du toucher était également bien présent). Nous avons dû laisser la nuit nous conseiller pour pressentir comment nous pourrions procéder pour le matériau. Quel bois ? Quel arbre?

La nuit fit encore sa magie. Il m’est venu l’idée folle d’utiliser l’extrémité de mon didgeridoo. (Cet instrument qui est fait d’une longue pièce de bois et qui est joué par les Aborigènes du Nord de l'Australie ). Christian n’en revenait pas que j’allais permettre ça. J’ai dû le convaincre de le faire, presque supplié si ce n’était pas sous la menace de le torturer. Nous en avons bien ri.

L’homme mis ses lunettes, fit quelques recherches sur Internet pour comprendre la conception des flûtes et se mit à la tâche avec passion. Où couper ? Quelle longueur? Où placer l’embouchure? Quelle largeur la faire?  À quelle distance? Tous ces détails étaient sous sa responsabilité maintenant. Il déposait de temps à autre son travail pour laisser la réflexion se manifester et poursuivre quelques jours plus loin. Il avait un « deadline » le 21 décembre 2012.


Des synchronicités impossibles

Pendant ce temps, comme nous approchions Noël, je m’étais engagé au « Marché de Noël » de notre région pour présenter mes compositions. On me donna un kiosque intérieur juste à côté du piano dans la salle de spectacle de notre village. Durant ces jours passés au kiosque, il m’est venu spontanément une nouvelle composition comme il m’arrive souvent en touchant un nouveau piano. Un joli petit air que je pris soin d’enregistrer sur un appareil pour une orchestration futur (comme des centaines d’autres)

Les jours avançaient à grand pas vers notre date fatidique, de sorte que mon ami me livra la marchandise juste à temps avant l’événement prévu. J’avais la flûte entre mes mains (ci-bas) mais absolument aucun droit d’en jouer ni même de l’essayer juste pour voir. Rien.









Les heures approchaient, je me préparais à combattre le réveil nocturne imposé. Ne pas se lever ou laisser faire lorsqu’arrive la nuit est facile de décision. Je me suis empreint de volonté pour ne pas écouter les jérémiades de l’humain qui proposait de continuer à dormir. Je me suis levé en commandant au corps de me suivre. Il était 3h15 et je me préparais à jouer pour 3h33 précise. Dehors, ce n’est rien de moins qu’un mélange de pluie et de grêlons qui pincent la peau de tous les fous qui sont dehors à 3h33 dans un matin de fin du monde. J’ai pris à la dernière minute, mon micro-électronique que j’ai inséré dans le gousset d'un appareil photo pour le protéger. Je portais des gants pour me réchauffer les mains mais que je devrai enlever pour expérimenter les premiers cris du nouveau-né.
Je suis rendu à la rivière et le seul bruit que l’on entend, ce sont tous ces grains moitié eau, moitié grêlons qui frappent tout ce qui bouge ou pas. Le moment était venu, pas le droit d’hésiter, ni de se demander comment ça marche, ni la permission de faire le moindre test. Tu commences là, ou tu retournes te coucher dans ton quotidien banal pour le reste de ta vie.
Je m’exécute, hésitant dans mon corps mais pas dans mon esprit. Je ne sais même pas combien de temps je dois me produire. Je souffle dans le Cumanà, le son démarre dans ce cancan de petits grêlons qui cherchent à picorer mes mains nues déjà gelés. Je continu l’expérimentation et je fais des modulations sans savoir ce que je suis en train de faire. Le micro est à demi enfermé pour qu’il ne soit pas trop aspergé d’eau et de grêlons. Ceux-ci cherchent à le frapper comme ils le font sur moi. Après environ deux minutes, s’en était assez. Je ne savais plus quoi faire et mes doigts étaient maintenant surgelés, je dois les réchauffer. La séance est terminée. Je ferme le micro avec l’intention de ranger tout ça, car cet enregistrement chaotique ne servira à rien…


Le résultat

Ma vie est suffisamment passionnante, je n’éprouve pas la nécessité d’agrémenter mes expériences subtiles même s’il semble que j’en reçois une part plus élevée que la majorité. Je suis simplement réceptif, dédié et en accord avec la réception de ces expériences. Je me suis libéré de mes croyances et de mes limites. J’ai fait mes démarches et je me sens libre de ce genre de résistances (car ce n’est que ça).



Les jours qui ont suivis le 21 décembre sont un peu confus dans ma mémoire mais il me semble que rien de particulier ne se soit produit socialement. Comme je m’en doutais, le seul événement essentiel de tout ce cancan de fin du monde est une certaine libération de toutes ces prédictions pathologiques qui empestaient l’esprit de notre communauté. Nous avions maintenant la joie de passer au moment présent. C’était la réflexion que j’entretenais.





Pour revenir à l’enregistrement du micro numérique, je me suis demandé qu’elle note pouvais bien détonner le Cumanà fabriqué au hasard par Christian-Maurice. J’ai pris mon accordeur et à ma très grande surprise, Christian est arrivé sur un « Mi » d’un accord parfait. De toutes les flûtes indonésiennes que je possède (environ une dizaine) aucunes n’arrivent à détonner aussi parfaitement dans sa gamme. Je pensais bien que cet instrument aurait eu un son beaucoup plus grave. Ce qui est le cas uniquement lorsque l’on emploie l’autre main pour couvrir progressivement son embouchure opposée. C’est ce que j’ai fait spontanément la première fois.

Je me suis mis à l’écoute de la trame audio du Cumanà. Avec tous ces bruits de grêlons et de pluie, je ne voyais pas ce que je pourrais bien en faire. Soudain, je reçois une forte inspiration complètent folle de combiner la nouvelle orchestration (composé sur le piano du marché de Noël) à la section enregistrée du Cumanà. Comment les deux pourraient-ils bien se marier ensemble? Ils ont peu de lien l’un et l’autre. Ce sera une catastrophe cacophonique assurément ou il faudrait un hasard démesuré juste pour coïncider sur les différents accords qui n’ont pas tous des « Mi ».

Le miracle s’est produit. La patente que j’ai soufflée à 3h33 s’ajuste parfaitement aux accords de la composition. Pas juste une, tous les accords et à tout moment. La superposition est miraculeuse, parfaite et non reproductible en laboratoire. Elle sera donc rangée aux oubliettes par la science moderne qui a horreur des inexplicables et qui fait perdre leur crédibilité à ceux qui osent honorer les synchronicités. 

Comment un instrument créé par un artisan à partir du souvenir de l'un et joué par l'autre pour la première fois peut-il s’ajuster à une composition créer quelques semaines avant même la création de l’instrument et sans aucun paramètre prémédité ??? Pourtant la mélodie et les accords se fondent l’un dans l’autre. Les modulations finissent tous en consonance sur l’accord suivant dans une harmonie inexplicable.

Pour le moment je dois me convaincre que les petits grêlons font partie d’un élément mystique important dont je n’ai pas encore fait de lien particulier pour l’expliquer mais les deux pistes se sont miraculeusement unifiées


Marie-Josée Larouche Médium inspirée

J’ai raconté mes souvenirs à Marie-Josée qui est dotée d’un certain sens de la médiumnité. Elle me sourit et me dit que l’on me remerciait d’avoir ramené l’instrument dans cette réalité. Je n’ai pas trop compris qui était ces « On ». Peu importe. Elle tenta de m’indiquer au mieux que le nom de l’instrument était : Cumanaé… Ce n’était pas claire parce qu’il semblait y avoir un accent sur une lettre. Je me suis mis au travail et le mot a été retrouvé sur internet.

J’ai été secoué de constater que « Cumanà » situé au Venezuela est une ville dont la signification indienne était l’union de la mer et de la rivière. C’était le seul mot qui commençait par Cuman… et le seul possédant un accent sur une lettre. Avec tous les mots existants, nous sommes arrivés sur la contrée qui à l’honneur d’être la première ville fondée par les espagnols dans le continent américain et il ne peut y en avoir qu’une. L’union de la mer et de la rivière. L’enregistrement sur le bord de la rivière retrouvait symboliquement tout son sens. Que vais-je découvrir dans l’historique de cette ville si je m’en donne le temps?

Une partie du mystère de Cumanà s’est manifesté 9 ans plus tard avec deux dates significatives. Soit le 13 Mars 2021 où j’ai été reçu à l’émission Zone Parallèle avec Jean Casault

Lien : ZONE DU 13 MARS 2021

Et le 13 Novembre 2021 à l’émission du même titre ou Jean recevait cette fois Marcel son histoire de ceinture de Photon.

Lien : ZONE DU 13 NOVEMBRE 2021

J’ignorais avant mon entrevue ce que Jean Casault avait vécu concernant son expérience personnelle avec la date du 21 décembre 2012 et encore moins le truc avec la ceinture de photon 8 mois plus tard.

Cumanà c’est une brochette de synchronicités qui n’est pas encore toute consommées. Il y’a tellement de synchronicités manifestées et qui se poursuivent que j’en aurait encore pour un autre page d’histoire.






Notre cartésien sentencieux refuse presque toujours de s’associé à des événements subtils sans une preuve irréfutable mais c’est un raisonnement futile puisque les événements subtils fuient comme la peste le cartésien inepte à les accepter et/ou les comprendre. Attendre la preuve des mondes subtils est aussi idiot que d’attendre le train dans le fond de l’océan. Les mondes subtils n’attendent que notre décision pour partager notre quotidien. Le courage de refuser la logique est le seul acte déterminé pour dissoudre le mur nous séparant de tous ces mondes enivrants. Puisse cette mélodie qui vous est offert (voir abonnement à musicdream.ca) vous apporter le courage d’unir votre Cœur et votre Esprit sans que le décevant cartésien ne vienne corrompre toutes les occasions que ces mondes subtils ne cessent de proposer à notre conscience étourdie par les différentes distractions sociales.


Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l’Auto-Guérison
Pour obtenir toutes les Clefs de Guérison en format MP3 de qualité

Lien : CLEF DE GUÉRISON


Vidéo YouTube 
CUMANÁ - UNIFIER CŒUR ET ESPRIT

Vidéo Facebook
CUMANÀ - UNIFIER CŒUR ET ESPRIT

Page Facebook de Musicdream
MUISICDREAM.CA – JEAN-BRUNO GAGNON

Contact : musiquedereve@live.ca
Site : MUSICDREAM.CA


Les Clefs de guérison utilisent le pouvoir de l’intention. Vous pouvez donc les empreindre de votre pouvoir personnel pour amplifier leurs effets.


Indications pour une libération cartésienne avec Cumanà-Unifier Cœur et Esprit
Vous munir d’un lecteur et d’écouteur pour l’expérience. Choisir une date symbolique pour vous. Cédulez ce rendez-vous avec vous-même pour 3h33 le matin. Vous mettre en situation de recevoir et démarrer la lecture de la musique.