jeudi 24 octobre 2024

Dream Affinity - Préserver l’Amitié




Dream Affinity, de l’Amour dans sa plus simple et mystérieuse expression, l’énergie de vie, le feu de la vie.  Ce n'est pas un amour impossible, inatteignable, défendu, même pas quelque chose de rare ou de grandiose, non. L'amour comme énergie présente partout, en tout temps, à tout moment qui est disponible pour nous lorsqu'on se syntonise avec cette fréquence.

Et une des nombreuses façons de se syntoniser avec l'amour, énergie infinie de vie, c’est la musique. La musique qui nous pénètre, nous traverse sans passer par les filtres de notre mental, pour aller réveiller ce feu, cette lumière de l'amour au fond de nous, au moment où on ne l'attend pas.

C'est ce qui s'est produit la première fois que j'ai entendu Dream Affinity, j'étais distraite, absorbée par une conversation animée avec un vieil ami quand, sans réfléchir j'ai appuyé sur « Play » pour entendre les nouvelles notes tout juste envoyées par mon ami Jean-Bruno.

C'était les balbutiements de ce qui deviendrait Dream Affinity. Quelques secondes plus tard avant que mon cerveau n'ait pu s'en mêler, les larmes coulaient sur mes joues et mon cœur s'ouvrait. Était-ce seulement la musique ?

Était-ce cette conversation avec cet ancien ami ? Était-ce une combinaison des deux ? Comme si la musique venait révéler cet amour toujours vivant, chaud, lumineux, intarissable au fond de moi. Malgré tout, tout, tout.



Il ne s'est rien développé du tout avec cet ami, si ce n'est que ce soir-là j'ai eu accès à cette source d'amour infinie à l'intérieur de moi. Comme ça, sans rien demander. Sans caresse, sans bisous, sans paroles, sans photos, sans cadeau, sans promesse, sans présence autre que la mienne, cette musique m'avait traversée au moment de cet échange et, ce soir-là j'avais ressenti la puissance de ce feu de la vie qui brûlait toujours en moi, mais ça m'aura pris 6 mois pour reconnaître ce feu, le nommer et l'honorer. Cette sensation est revenue souvent depuis et m'a donné accès à de la compréhension et de la Guérison et j'ai beaucoup de gratitude pour ça.

Je veux honorer, cultiver, remercier, reconnaître, nourrir, élever, entretenir, partager ce feu de vie autant que la vie me permet de le faire et de la façon la plus juste à chaque fois.

                                                                                             -          Ève Sano-Gélinas



L'amitié sincère et profonde est un trésor précieux qui illumine la vie et apporte une chaleur inestimable. C'est un lien profond qui se tisse entre deux âmes, basé sur la confiance, le respect et la bienveillance. Cette forme rare d’amitié est une source de réconfort dans les moments difficiles et une célébration de la joie dans les moments heureux.
 

Comme une fleur fragile, elle a besoin d'attention et de soins pour s'épanouir. Elle doit être protégée des vents violents de la trahison et des tempêtes de l'indifférence. Une amitié sincère et profonde nécessite un engagement mutuel, une écoute attentive et un soutien inconditionnel. 

Étrangement, il arrive qu’elle soit jalousée d’où l’importance de la sollicitude. Des événements mouvementés peuvent émerger pour mesurer la fermeté à la protéger. Engager une vigilance perpétrée pour la mettre à l’abri de l’interruption ou des tentatives sournoises à la dissoudre est un devoir vital. Il faut en perdre une un jour pour comprendre la souffrance qui en résulte dans le parcours d’une vie. 

Lorsque cette rare perle a pu émerger, c’est une priorité de la chérir et la préserver avec amour. Être présents pour cette amitié, soutenir inconditionnellement dans les rêves et les aspirations. S’encourager mutuellement à être ou à devenir la meilleure version de soi-même. 

Une amitié sincère transcende les frontières du temps et de la distance. Même séparés par des kilomètres, les cœurs restent connectés par ce lien indéfectible. Le partage de souvenirs inoubliables, de rires contagieux et de larmes sincères. 

Dans un monde où la superficialité et l'égoïsme peuvent parfois prévaloir, une amitié sincère est une bouée d'espoir et de réconfort. Elle rappelle que je ne suis pas seul, que quelqu'un est là, prêt à tendre la main et à écouter.

Protéger cette amitié sincère avec vigilance et gratitude est une priorité. a nourrir de moments précieux, de conversations profondes et de gestes attentionnés. L'un pour l'autre, dans les bons moments comme dans les plus incertains. Cultiver une amitié qui durera toute une vie est le meilleur fruit qui restera dans une éternelle maturation. 

Car une amitié sincère est une bénédiction qui illumine la vie et rappelle la beauté de la véritable connexion humaine.

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Jean-Bruno Gagnon

Composition, orchestration
Trames musicales pour méditations guidées, thérapies, rémission, hypnose.
Alchimiste en musique d'Auto-Guérison.
Trames pour film, vidéo.
Montage Audio-Visuel
.

Site : www.musicdream.ca

mardi 22 octobre 2024

L'amour encadré






Une relation amoureuse a besoin d'un mélange juste entre la confiance, la sécurité et la liberté.

Imposer un cadre unilatéralement basé sur ce que je ne veux plus vivre ou crains de revivre, conduit le partenaire a exprimer une sensation d’être trop étouffé ou dans une prison.


C'est indéniable, trop de confiance (naïveté autodestructive), trop de sécurité (prison et étouffement) ou trop de liberté (insouciance et dépravation) anéantira rapidement même la plus belle des relations amoureuses.

Il est vital de ne pas construire un interminable et lourd cadre en demandant au partenaire de le porter tout en marchant sur des œufs et avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête. C'est au-delà de capacités humaines. Même Dieu ne restera pas dans cette situation.


Un petit cadre léger construit sur ce qui uni le « NOUS », quelques œufs à éviter pour l'un et pour l'autre en assumant seul l’épée de son existence nourrira la relation dans une paix durable.

Si vraiment il y’a besoin d'un cadre pour sécuriser l’un ou l’autre, qu'il soit jolie, léger et construit avec le partenaire et non uniquement avec ce que je ne veux plus vivre ou ce que je crains de revivre.

Car si je décide sincèrement la guérison en moi et comprends que je n’ai plus besoin de revivre ce que j’ai vécu, il est bon de savoir que la vie m'as entendu et à mis un partenaire dans le chemin le plus sage qui soit et dans le temps le plus juste.

Et oui, ça prend du courage pour remettre la confiance dans la relation. Mon passé ne doit pas éliminer ou réduire la confiance et la liberté dans la relation qui est maintenant mis sur la route. C'est une noblesse et une loyauté que « NOUS », a le devoir de manifester et que mérite le partenaire.

J’ai créé dans ma vie les circonstances pour mériter la plus belle des relations que j’ai maintenant le droit de vivre. Je n’ai pas besoin de l’affaiblir avec un cadre trop lourd à porter et basé sur des paramètres sociaux et des croyances limités.

En priorisant la sécurité tout en négligeant la confiance et la liberté en quantité suffisante, je perdrai cette relation et ne pourrai n'en vouloir qu'à moi-même


Avant de consommer cette relation déjà prévue merveilleuse, je ne laisse pas les expériences passées, les croyances et les concepts construire un cadre lourd et rigide qui m'empêchera de vivre ce cadeau de la vie…


Je garde à l'esprit que les expériences, les valeurs et concepts changent d'un lieu à l'autre et d'une époque à l'autre. Ce qui me dérange dans la vie de l'autre, sera toujours en premier lieu un élément à guérir en moi. Je m’assure alors de ne pas lancer la première balle d'une partie de ping-pong nocive et interminable. Car si je le fais comme une rengaine, l'autre n'aura pas toujours la patience de recevoir les smashs en plein visage à répétition.

C'est le dérangement qui doit être dévoiler en tout premier lieu (rien d'autre). Dans la meilleure des situations, en tout humilité et en total vulnérabilité sans reproches, sans exigences et sans demandes.

En le faisant ainsi, je toucherai le cœur de mon partenaire et il voudra m'entendre, participer à mon mieux-être et répondre de lui-même à mon besoin s’il y’en a un. Car il voudra mieux aimer et protéger la personne qu'il aime. L'amour, c'est beau quand c'est comme ça.

Ce n'est pas grave que l'un ou l'autre s'échappe de temps à autre (oublie, fatigue, etc.) Ce sera facilement pardonné l'un à l'autre.

Si mon partenaire en arrive à exprimer qu'il ne peut plus en prendre, je sais alors que j’ai fait fausse route et que je manque de confiance intérieure. Voir la dure vérité avec moi-même en dehors de tout égo.

La personne qui m'aime n'est pas un être à guérir ou à changer. Seul mon approche est défaillante. C'est la triste réalité même si je pourrais me refuser à l'entendre pour l'instant.

Jean-Bruno Gagnon

Composition, orchestration
Trames musicales pour méditations guidées, thérapies, rémission, hypnose.
Alchimiste en musique d'Auto-Guérison.
Trames pour film, vidéo.
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dimanche 25 août 2024

Harmonia - Réunir les divergences

 

Harmonia est le nom des jardins où je suis allé faire des captures en images et en vidéos pour un admirable projet souvenir. Un lieu où autant les hôtes que le paradis qu’ils développent est au-delà des plus magnifiques ornements privés. https://www.jardinharmonia.com/welcome

Aujourd’hui le clavier des lettres est obligatoire pour moi. Quand un mal insistant se place en moi et que rien n’y vient à bout, je fini par m’incliner et/ou comprendre que je suis appelé à traverser un Processus d’une Clef de Guérison et que seuls les mots à faire émerger dans la matière en est le dénouement.  Je suis incapable de faire autre chose. Je suis efficace en rien. Visiblement, je suis en Processus et j’obtiens ma libération qu’en exécutant ce texte.

 

 

Présage relationnel

 

Que reste-t-il après avoir déposé une nuit sur un échange ombreux. Quel sentiment, quelle sensation ? Qu’est-ce qui vis en moi pour mettre en pause tous mes travaux, mes engagements pour que je prenne ce temps inévitable à m’exécuter au clavier ?

 

C’est une sensation d’avoir été abîmé pour engendrer et vivre un drame où il n’y avait pas à en avoir. De m’avoir senti compressé et obligé d’exprimé une réponse incomplète, mièvre sans son contexte et qui n’était pourtant qu’une simple suggestion reçue dans un situation simple, de bonne intention, large et libre.

 

C’est de ma responsabilité de me rendre compte de cette impression désagréable et du piège qui se préparait devant moi. Je n’accepterai plus de me faire une telle violence. Ni à l’autre d’ailleurs.

 

Ces questions pourvu d’une épée Damoclès en supposant que l’autre a assez de cheminement ou d’intégrité pour ne pas l’agencer à son inconfort personnel n’a pas à être inséré dans une relation. Les principes, les valeurs, les paramètres, les croyances non pas être au-dessus de la relation. Ils ne sont rien d’autres que des limites à celle-ci.

 

Les principes changent d’un lieu à l’autre, d’une expérience à l’autre, d’un cheminement à l’autre, d’une génération à l’autre. Ce n’est pas eux qui sont la priorité d’une relation mais c’est plutôt le courage de décider la vulnérabilité qui rend la relation authentique, sensible et sécuritaire.

 


Si je sens cette étrange mais significatif disharmonie en moi, je n’ai pas à répondre à une question qui ne peut avoir de réponse puisque l’autre est à cent mille lieux de comprendre le contexte dans lequel il s’est manifesté. Puisque c’est moi qui en ai été l’acteur. L’autre n’a que son filtre personnel d’interprétation.

 

Prendre un segment de réponse pour exposer un dérangement plutôt que d’avoir le courage et l’intégrité de partager directement son inconfort n’est pas et ne sera jamais dans l’ordre d’une relation sécuritaire. Si un inconfort est présent, ce ne sont pas des questions qui doivent surgir mais le courage de la vulnérabilité. Tout autre discourt n’est qu’une fuite dans ses habitudes involutives et de l’égo mal investi. Ce qui est différent d’une discussion sociale où les questions pleuvent autant que les réponses loufoques ou brillantes.

 

Vivre une relation importante tout en maintenant une méfiance, personne n’a besoin de subir ça. Il est plus que nécessaire de faire le ménage en soi et de comprendre que l’autre ne cherche pas à blesser, à heurter ou à trahir. Ce n’est rien d’autre qu’une décision ferme à prendre. Je veux vivre dans des relations où l’autre décide de savoir que je ne cherche pas à le froisser. Et je ne veux pas non plus que mes mots exprimés, écrits ou absents soient traduits pour prouver que j’essaie de blesser.

 

Moi autant que l’autre malgré le passé difficile commun à chacun a le droit de vivre une relation heureuse et épanouie. De ne pas laisser les blessures passées, les paramètres, les croyances ou les valeurs être le fil conducteur absolu d’une relation. C’est un ordre qui doit éviter d’être troublé.

 

Si mon partenaire utilise un bout de phrase,  un morceau de mot ou même une sensation pour en faire le mont Everest je ne pourrai rien y faire. Ce sera toujours démoralisant que l’autre choisi le doute mais c’est aussi en même temps bien normal et compréhensible d’en avoir. Mais un moment donné, une décision doit être prise.


On n’obtient pas la confiance en passant son temps à vérifier si on peut faire confiance. C’est un principe de jardinage que l’on apprend rapidement et avec sagesse en ne déterrant pas les semences pour voir s’ils ont commencé à germer. La confiance inspire la confiance. Le doute amène de la disharmonie et elle s’insère dans la relation que vous le vouliez ou non. Ce qui est évolutif et dans le bon ordre, c’est de risquer la confiance. La décider si l’on sent que notre cœur nous l’indique même au risque de se tromper ou de se faire très mal (et ce n’est jamais une erreur car la vie récupère tout).


Il est vital de comprendre que s’il y’a un heurte, c’est peut-être juste une occasion simple d’échanger, de s’ajuster, de se comprendre et de ne pas laisser les attentes, les valeurs et principes être la tête dirigeante. De ne pas les laisser décider que nous devons avoir une discussion embrouillée plutôt qu’un échange sain et enrichissant.

 

Alors toi, que décide-tu ? Mise à part les horribles cas de manipulations qui sont à fuir, l’autre est-il présent pour essayer de te blesser, de te heurter, de te contrarier? Que dis profondément ton cœur ? As-tu le courage de lui faire confiance ? Peux-tu risquer d’entendre encore les mots de l’autre et de décider qu’ils ne sont probablement pas nécessairement blessants car un contexte complet, une ambiance, l’état passé et actuelle de l’autre t’es simplement inconnu ?

 

 

Réunir les divergences

 


Maintenant que l’ordre et la vulnérabilité à été priorisé, il reste à s’avouer qu’il y aura toujours des divergences malgré notre désir de s’émerveiller de nos affinités et de nos complémentarités.

 

Le jardin Harmonia et ses hôtes Huguette Larocque et Clément Bessette ont réussi un tour de force en unissant l’orient et l’occident dans chacun des secteurs (sans exception) de leur jardin prodigieux. Comme le dit si bien Clément, si tu veux être heureux toute ta vie, cultive un jardin.

 

Le jardin d’une amitié profonde, d’une complicité précieuse ou d’une relation importante sont des occasions formidables d’honorer les polarités et tout ce qui nous différencies. Trouver le courage de la vulnérabilité, décider que l’autre à toujours de bonnes intentions malgré ses maladresses, ses limites, son niveau d’expériences ou de conscience n’est pas un travail impossible à réaliser et demande un effort soutenu et de bienveillance comme ont pu le réaliser Huguette et Clément.

 

J’ai la chance dans ma vie de vivre une amitié profonde qui m’a appris de précieuses étapes pour solidifier et honorer ce jardin d’amitié. Cette amitié, cette complicité, j’aurai l’opportunité de la célébrer avec vous le 7 septembre avec mon amie et ma complice de musique Ève Sano-Gélinas.

 

Je vous invite à partager vos témoignages, vos anecdotes que vous avez pu vivre avec l’un, avec l’autre ou les deux. Très rapidement car une vidéo est en cours de montage qui servira de bien cuit, de bien cru ou de bien apprécié et qui sera présenter le samedi 7 septembre en après-midi à la Chapelle M de Dunham.

 

Je souhaite également construire de nouvelles relations en priorisant l’ordre que m’ont appris autant les bonnes que les mauvaises expériences de la vie. Ils ont été acquis non pas par noblesse mais à force de ne plus aimer mon attitude et mon manque de courage.

 


L’occasion d’un jardin supplémentaire m’attend en ce moment. Je ne sais pas par où commencer car il y’a eu quelques semences offertes gratuitement par la complicité de quelques intervenants subtils. Un complot assez bien orchestré jusqu’à maintenant. Il me reste à trouver du courage et de vérifier les intentions et les capacités de l’autre car le chemin harmonieux installé gratuitement n’est pas le vrai sens de la connexion. Les aidants savent très bien que la connexion doit se forger avec nos efforts et ils semblent avoir fait le nécessaire pour que l’on passe à l’étape suivante…

 

 

La musique

 

La musique Harmonia - Réunir les divergences arrive bientôt mais je dois terminer Dream Affinity - Préserver l’Amitié que je me propose de présenter le samedi après-midi du 7 Septembre. Une exclusivité que vous méritez de recevoir. Un cadeau dont vous aurez la chance de comprendre en recevant la musique qui y est associé. Elle vous ébranlera dans le bon sens du terme...

 

Pour nous rejoindre le 7 septembre, CLIQUEZ ICI :

https://my.weezevent.com/de-40-a-60-ans-de-vie-et-de-musique-a-3


Jean-Bruno Gagnon

Composition, orchestration
Trames musicales pour méditations guidées, thérapies, rémission, hypnose.
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Trames pour film, vidéo.
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lundi 14 novembre 2022

Le Chant de la Sirène - Préserver la vulnérabilité

À l’occasion de nos présentations, pourquoi les gens vivent-ils des moments d’une intensité si élevée qu’ils arrivent difficilement à les décrire ? Ils aimeraient inventer des mots pour me les offrir.


Parce que les présentations de Musicdream ne sont pas uniquement des prestations musicales. Le but et l’intention sont de retrouver collectivement ces moments sensibles et vulnérables resserrés dans un vieux tiroir que nous avons appris à dissimuler.

Il existe une structure mystique que j’ai appris à intégrer au fil des prestations. Une mesure délicate que j’ai appris à honorer en demeurant noblement à l’écoute sur les intentions des instigateurs subtiles. Je ne sais pas comment nommer ça. C’est une énergie, un courant puissant inaltérable dans l’invisible, mais facilement friable de notre côté. On peut le briser avec une fraction de l’égo, avec un rien basé sur des intentions mal dirigés.

J’ai appris au cours des années à porter un grand respect à ma destination spirituelle que j’ai maintenant le devoir de porter lors des présentations de Musicdream dont certains moments sont remplis d’une vulnérabilité et d’une intensité inattendues ou inespérées.

Chaque chose y est à sa place et que trop légèrement modulable. J’ai appris dernièrement, à ne plus altérer prioritairement cette conception spirituelle. Dans mes orchestrations, c’est un peu la même chose. Je compose parfois les mélodies de certaines orchestrations orphelines de sa partition à l’aide des différentes pistes qu’improvise Ève. Je ne prends pas ses meilleures performances ni ses meilleures réalisations vocales. Je cueille le moment où le vulnérable et le sensible se manifestent. Il se produit au moment d’une fluidité où moi aussi, je cherche des mots que je voudrais bien inventer pour vous le décrire.

Écrire pour moi un Processus (Clef de Guérison) est une corvée qui aboutit rarement sauf quand je suis conduit dans un entonnoir serre-cœur où il m’est impossible d’en sortir tant la pression est puissante et la douleur aussi insupportable qu’un mal de dents dans l’âme qui vous donne envie de mourir. Dans ces moments mystiques, je me sens horriblement seul et abandonné. Je ne trouve pas la connexion amie pour la transcender. Rien à faire, je n’ai aucune autre avenue que de laisser défiler les mots justes, sans défaillir d’une virgule. Je ne comprends toujours pas comment peut disparaître une telle torsion au fil des mots qui se terminent. Je n’ai pourtant aucune idée de ce dont je dois écrire. Pourtant tout se dévoile en tapant sur le clavier (des lettres cette fois).



L’empiétement spirituel et la vulnérabilité






L’empiétement spirituel est un fait méconnu pour une majorité. Le chemin pour apprendre ou comprendre ce concept en dehors de son cartésien et de ses intentions dissimulées peut être très long et même parfois inaccessible pour certaines personnes. Aussi, il est de notre apprentissage en devenir, de protéger nos proches lorsqu’ils sont en situation de vulnérabilité. De devenir intransigeant au moindre signe. Laisser passer ces situations par hésitation, par incertitude ou par peur de l’action ou de la réaction à un effet boomerang dévastateur qui insuffle au final une rude initiation de courage et de dignité.



Le Chant de la Sirène


J’ai une amie qui à vu ses capacités suspendues par l’incapacité à ce qui aurait dû être son principal soutien dans ses expérimentations sous-marines. Mon amie Chantal a vécu une réelle modification structurale par des instigateurs subtils qui lui permettait de respirer sous l’eau. Pas 1 minute ou deux, mais entre 15 à 30 tant que cela lui étais possible ou autorisé. Ce qui aurait dû être protégé ne l’a pas été. Mais plutôt pratiquement anéanti par la peur et je comprends si bien ce qu’elle a vécu que j’en pleure en secret parfois (ce qui ne sera plus un secret maintenant). Les expérienceurs sont une famille et ils qui se reconnaissent entre eux.

Son livre est d’ailleurs disponible depuis le 3 novembre dernier et s’intitule : LE CHANT DE LA SIRÈNE par Chantal Goupil et fait partie de la Collection Ufologie Profonde dirigée par Jean Casault, de la maison d’édition Louise Courteau. Cliquez ICI : Ufologie profonde

Pour la page Facebook auteure de Chantal : Chantal Goupil


Mon amie Chantal aura la joie de découvrir bientôt l’orchestration « Le Chant de la Sirène » qui m’a été livrée de façon directe dans un rêve en état de semi-réveil (ce qui est extrêmement rare, car le souvenir de mes orchestrations s’évanouit au moindre réveil et est récupéré quelques semaines, mois ou années plus tard dans d’autres circonstances).

Voir : PROCESSUS, première étape


Je ne peux faire autrement. Je n’ai pas d’autre direction possible. Je n’hésiterais pas à perdre mon souffle pour lui rendre le sien. Aurais-je la Clef pour raviver ce qu'il lui est possible de retrouver ? Je le souhaite ardemment si cela est permis. La Clef de Guérison en portera sûrement l’intention. Et c’est Ève Sano-Gélinas qui a eu l’honneur de conduire les pistes vocales et à personne d’autre. Comprendre la vulnérabilité et l’honorer n’est pas donné à tous et des chemins m’ont conduit à aimer sa sensibilité plus que sa voix qui à pourtant un parfum de ciel.

L’incapacité d’accueillir l’incompréhensible est probablement ce qui cause les traumatismes les plus irréversibles dans la spontanéité de ceux qui porte des facultés bousculant trop des parties cartésiennes mal investies d’une partie de notre communauté. Devant la vulnérabilité des ces structures incompréhensibles, nous avons le devoir de devenir une force individuelle et collective. De les accepter et de les préserver de toutes nos convictions, car ils sont notre espoir de transformation à tout jamais.

Le Chant de la Sirène est une Clef de Guérison disponible sur Musicdream (lien plus bas). Comme toutes les autres Clefs de Guérison, elle ne peut être vendue et elle est disponible pour tous les abonnés.es de Musicdream.

Pour entendre la MUSIQUE et voir la VIDÉO cliquez ici : VIDÉO FACEBOOK

Pour recevoir toutes les Clefs de Guérison (pour toujours) Cliquez ICI : CLEFS


Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

www.musicdream.ca


dimanche 9 mai 2021

Le Chant de la Sirène - Processus d’une nouvelle mélodie

Nous avançons à l’entrée de ce qui est un rendez-vous à un rassemblement où nature, cohabitation, art et musique seront célébrés autant de jour que de nuit. Nous sommes arrivés à l’entrée. Je suis avec Ève et probablement Charles avec son violon mais il me semble très jeune dans cette scène car voyez-vous, je vous raconte l’état de réveil et de rêve en ce 9 mai 2021 jour des mères.



À l’accès, un gardien demande de ne pas entrer avec le violon, il le conservera dans la camionnette juste à côté. Je comprends rapidement que l’on veut éviter des concerts improvisés trop cacophoniques d’une place à l’autre. Je tente de lui expliquer que notre ami fait parti de la prestation du soir mais le gars semble embêté ne sachant trop quoi faire. Bref! Nous avançons dans ce territoire rempli de verdure, de sentiers et d’habitations. Nous sommes bien, très bien, entre le jour et la nuit.  Je perds Ève de vue qui s’évapore dans ce décor qui inspire la liberté. Je me perds moi-même et dépose dans un endroit un peu secret l’instrument que j’apportais avec moi (peut-être le violon du peut-être Charles, c’est pas claire). En repassant sur mon chemin après quelques aventures brumeuses en promenade, je ne me souviens plus où j’ai mis l’instrument. Je suis embêté et peiné.

 

Le miracle de la création

Je me réveil en semi-coma. Là, il se produit ce qui m’arrive rarement en création de nouvelles mélodies. La mélodie qui parcourait mon rêve est disponible, là dans ma tête et ma mémoire. C’est intense et magnifique. Il y’a le piano en frappe aux mesures, le violon en arpège et la voix de Ève haute en chant de sirène. Je dois refaire jouer le souvenir dans ma tête car celui-ci s’évanouira dans pas long. J’ai tendance à vouloir me rendormir, c’est facile et tentant. Je me lève déterminé à ne pas laisser passer l’occasion. Je suis loin de la musique, trop loin depuis que je fais de la vidéo.

 

Le chant de la sirène



Il y’a un mois, j’ai échangé avec Ève sur le processus de ma nouvelle complice de radio Chantal Goupil qui a partagé un rendez-vous radio suivant le mien avec Jean Casault à l’émission Zone Parallèle plutôt animé en général par Carole Lauzé :

https://969fm.ca/emissions/zone-parallele/zone-parallele-10-avril-2021


Devant ce que je lui racontais de l’histoire de Chantal, son livre à venir et son titre : Le Chant de la Sirène *  Ève me dit : Wow! Ça ferait un beau titre de musique. Bang! Il ne m’en fallait pas plus. Sur le champs, j’ai été envahi par une forte pulsion de créer quelques créations inspirées. Depuis un mois, je me dis que je vais partager tout ça à Jean et Chantal. Bon, chose que je fais aujourd’hui finalement. On n’arrête pas la création son moment venu...

* Le Chant de la Sirène paraît le 3 Novembre 2022 au Québec aux Éditions Louise Courteau dans la série Ufologie profonde que dirige Jean ici au Québec.

COLLECTION UFOLOGIE PROFONDE


Un effort généré par la volonté de la créativité

Je me lève donc. Mes sous-vêtements sont disparus. Ça urge, je n’ai pas beaucoup de temps, la mélodie s’évanouira. J’en prend de nouveaux et pas le temps de mettre autre chose. Zut! Mon clavier n’est pas branché. Je lui avais emprunté sa rallonge. Je m’en occupe tantôt, je ne dois pas perdre l’orchestration (dont les accords, l’ambiance et le Processus me font penser à Jessia-Le langage du Divin) :

https://youtu.be/C5p_y2MUabc


Et c’est tant mieux car si je n’arrive pas à la bonne note sur le piano, je risque de faire s’évanouir la majorité du contenu subtil en une seule erreur. Je saisi mon micro électronique et en voix secrète doucement, je tente de retrouver des graciles d’accords et de mélodies. J’augmente l’intensité en m’assurant de ne pas être défaussé. Je réussi assez bien, je tente le coup au piano. L’enregistrement étant sécurisé, je ne peux plus perdre le principal. Je rebranche le clavier. Je retrouve à l’aide de l’accordeur en quelle tonalité j’ai saccagé la mélodie de ma voix cette nouvelle orchestration. C’est en Fa dièse (ou sol bémol, c'est la même chose Jean). Je reconnais effectivement les accords de Jessia mais dans une autre tonalité. 

Après une pause trop longue, le médium inspiré comme aime bien le commenter Jean, se remettra sous peu en Connexion à la Création pour répondre à ce besoin vital de la communauté en manque de beauté et de paix du cœur... Question de guérison.

Un extrait à venir bientôt.

 

Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

www.musicdream.ca

jeudi 11 mars 2021

Une ombre sur la route

Le 14 septembre 2013 vers 10h00 du soir nous (moi et la personne que je nommerai la conductrice) avons assisté à un événement étonnant sur la route. Devant le spectaculaire de la situation, j’ai eu la vitesse d’esprit de proposé à la conductrice avec qui j’étais dans la voiture (accompagné de ces deux enfants), d’écrire en arrivant chacun de son côté avec le plus de précision possible ce que nous avons vus et vécus sans se consulter.

Nous avons vécu un certain étonnement à lire chacun de nos descriptions. Ils n’ont pas été modifiés pour essayer de les rendre concordants ou pour toutes autres intentions quelconques. Je n’aurais probablement jamais raconté publiquement cette histoire si j’aurais été seul. Un simple partage avec la conductrice m’aurait probablement suffi. Seul, j’avais la sensation vécue et le ressenti (assez fiable dans mon cas) mais pas une vision nocturne aussi valable que la conductrice. Le complément des deux et le double témoignage rend l’expérience intéressante à partager. J’ai essayé de faire un montage photo avec les moyens du bord. Ce n’est pas la bonne forme (un dragon sur le montage) mais bon. Nous pouvons quand même nous imprégner de l’effet.



L’expérience d’écrite par la conductrice

Par cette nuit fraîche de mi-septembre, de retour d’une fête entre FRELISBURG et ABERCORN un étrange phénomène se produisit. Il est environ 9 30 – 10 00 pm. Quelques minutes, pour ne pas dire secondes avant, Jean-Bruno me fait la demande de ralentir la vitesse du véhicule alors que je ne sens pas que je vais trop vite. Une remarque qui d’ailleurs me surprend étant donné que très rarement, sur une route pareille, Jean-Bruno me suggère une telle chose! J’acquiesce et ralentie, nous sommes sur une route de campagne qui serpente les vignobles de la région. C’est une nuit étoilée, mi-croissant de lune, nous voyons bien la route et les alentours. La brume est sur le point de se lever mais nous ne sommes pas encore entourés par elle.

Puis passe devant la voiture (15 pieds environs) cette chose (de la grosseur d’un chien de grosse race) mais ce n’est pas un animal, en fait cela ressemble à une ombre, elle ne se déplace pas en courant, elle glisse très rapidement à quelques centimètres du sol. Je sais que j’ai vue quelque chose. Avoir été seul je me serai dit, afin de ne pas confronter ce que j’ai vue, oh j’ai dû rêver… Mais j’ai vue quelque chose se déplacer à grande vitesse et j’ai des frissons qui me montent dans le dos, je ne peux renier. Genre de fantôme que l’on peut voir dans les films de peurs. Un ombre noir, sans matière.

Quelques secondes passent, j’ai encore les frissons sur les bras, lorsque Jean-Bruno et moi parlons de ce que nous avons vues. Oui nous nous confirmons la chose. Nous avons bien assisté à quelque chose de fantastique-inexplicable…

Ouf! J’ai le désir de faire des rencontres de IS (mondes subtils, etc.) mais lorsque le surnaturelle se passe devant ses propres yeux non pas par un intermédiaire de style : « Une amie à moi à vue telle ou telle chose ». Eh bien, l’expérience est bien différente. Ce n’était qu’une ombre de quelque chose d’inexplicable de 2-3 sec qui passe devant la voiture. J’imagine très bien une expérience d’une rencontre extra-terrestre et bien OUF! Les petits frissons doivent être exponentiels malgré le fait que je travaille à ouvrir mon cœur à n’importe quelle rencontre car je désir être dans l’accueil total à ses êtres venues d’ailleurs.

 

L’expérience d’écrite par Jean-Bruno

Nous revenions d’une réception d’un ami dans la région du Lac Champlain. Nous étions donc sur une route secondaire en direction de Sutton. Il était aux environs de 10h00 le soir. La température était d’environ 12ᵒ Celsius. Le temps était au dégagement après un matin de pluie. Il avait donc un peu de brume de temps à autre sur la route. J’étais dérangé par la vitesse de la conductrice, tout le contraire que d’habitude. C’était étrange, je craignais une collision, j’en avais presque des visions. J’ai demandé alors formellement à la conductrice de ralentir immédiatement. Nous vivons maintenant avec assez d’acceptation ces ressentis intérieurs qui sont parfois assez intense chez moi. Le ralentissement m’a déstressé et nous avons assisté avec surprise au passage d’une ombre étrange qui traversa la rue de notre gauche vers la droite dans une fluidité surprenante. Sa distance était environ de 30 à 20 pieds en avant de nous. Considérez que nous nous en approchions légèrement étant donné que nous avancions en sa direction. Pas beaucoup cependant vue sa vitesse de passage. Cette ombre avait la forme animale. Je la qualifierais d’un mélange de chien, chat, renard assez plat mais plus long. Sa traversée était légèrement oblique. Les détails surprenants :

1-) Sa vitesse et sa course rectiligne n’épousant pas les dénivellations des différentes surfaces.

2-) La forme n’avait pas de mouvement de course au niveau des pattes, elle glissait et semblait flotter. Je n’ai vu se mouvoir aucune verdure ou arbustes.

3-) Sa couleur était totalement unie de couleur noir charbon. Elle me semblait même presque en 2D tellement il n’y avait pas de contraste de couleur sur la forme (pas de poil ou de texture visible) Étant donné sa rapidité, je ne suis pas certain d’une certaine transparence malgré sa couleur noire.

J’ai ressenti une surprise, un figement presqu’un désir d’incertitude, restant en suspension sans respirer attendant que la conductrice confirme quelque chose étant donné qu’elle a meilleure vision que moi. Mise à part l’effet d’étonnement, je n’ai ressenti aucune peur (ma condition personnelle d’évolution est à prendre en considération car mon cheminement m’a conduit à être libre de ce genre de peur. Ce qui surprend encore la conductrice. Je raconterai pourquoi dans une autre expérience). Admettons donc que ce genre d’expérience donne froid dans le dos. Je sais que nous étions en voiture les fenêtres fermées mais j’ai le sentiment ou la certitude que la traversée de cette ombre ne faisait aucun bruit. Je parle du bruit physique en tant que tel (pas, sabots, etc.) car si elle émettait un son par elle-même style grognement, je n’en sais rien. 

 

Les Différences entre nos récits 

La distance : 15 pieds pour la conductrice – De 30 à 20 pieds pour Jean-Bruno

Ce n’est pas le point fort de la conductrice d’évaluer les distances en pieds. Elle m’a demandé dans le passage de la maison à combien de pieds représentait une distance de nous a une porte. Je connais l’illusion d’optique des différences de grandeur entre l’intérieure et l’extérieure.

Comme le début du passage de l’ombre nous étions immanquablement plus éloignés, j’évalue la distance à un maximum de 30pieds. J’évalue donc aussi au plus près de nous (au moment de la disparition de l’ombre dans la verdure) à environ 20 pieds. Notre vitesse devenue décroissante était environ de 55km/hr (à la suite de ma demande, nous venions de passer de 85km/hr à 55km/hr).

Légèrement oblique pour Jean-Bruno – perpendiculaire pour la conductrice

La conductrice n’a simplement pas remarqué cet élément qui pour moi est un souvenir bien remarqué. C’était un angle d’environ 15ᵒ pas plus, pratiquement perpendiculaire.

Nuit étoilée, éclairée par la lune pour la conductrice – Nuit au dégagement, un peu de brume de temps à autre pour Jean-Bruno

Je ne dis pas qu’il y avait de la brume au moment de l’expérience, je me fie à la vision et à la mémoire de la conductrice là-dessus car la nuit pour moi c’est toujours un peu brumeux. Mais il est certain que nous avons rencontré de la brume en arrivant sur la 139 direction nord près de Sutton et qu’il n’y en avait pas ou très peu à l’endroit de notre expérience.

  

Qu’elle était donc cette manifestation ? 

Mon impression est qu’il est possible qu’un chevreuil venait de traverser la route de droite à gauche (sens inverse de l’ombre) et que si nous n’avions pas ralenti, nous l’aurions percuté. Je pense donc que mon ressenti exprimé et qui a conduit à modifier notre mouvement, a également modifié notre histoire. Je pense que l’ombre de la mort accompagnait notre expérience et que cet ombre, s’est retourné en direction opposé étant donné l’intervention par une autre énergie subtile. Soit la mise en matière du ressenti. La conductrice a bien répondu à cette explication.

Avant de lui demander de ralentir, j’ai eu comme la sensation d’une collision avec un animal et que David (un des deux enfants) était en risque. Ce qui est étonnant, c’est qu’une heure auparavant, j’ai pris une photo de David (au piano dehors) et qui s’est mystérieusement retrouvé dans une bulle de lumière non visible en prenant la photo.

(Photo de David quelques heures avant l'événement)

Petit roi David, ce soir-là un ange est venu apporter sa protection. Il m'a montré un avenir possible. J'ai modifié alors notre présent et l'ombre s'est enfuit dans la forêt. Le soir sur la route, je n'ai pas osé exprimer à la conductrice la vision ou sensation que j'ai eu juste avant. La sagesse m'a guidé à ne pas créer un choque émotif superflu à la mère. Le subtil et l'intuitif sera toujours la voix de notre divinité à chacun. Nous avons le devoir de l'honorer au premier plan et de caser le cartésien dans un espace secondaire, là où est sa vraie place.


Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

samedi 14 mars 2020

Le Bonheur d’un éveil collectif




Mise à part cette phrase d’intro, vous ne trouverez pas les mot coronavirus, covid ou papier cul dans ce texte. Un congé bien mérité pour tous. Une oasis dans un désert de science médicale, de Fake news, de complots et de surmédiatisation. J’écris donc sans ressasser ces termes devenus trop fades.

Dans la version la plus simple, il y quelques années quand j’ai orchestré mon aventure avec le Lyme (pas le fruit mais le borrélia), j’ai vécu un court moment de panique en associant la marque de la cible que j’avais dans le dos avec une morsure de tique porteuse du défi de guérison. Le principal intérêt de ce texte est ce court moment de panique, de crainte ou de peur.

J’en ai pris conscience assez rapidement. Parfois, il m’arrive de faire semblant de ne pas avoir peur avec différentes stratégies. Je figure cette habitude comme une activité que nous commettons probablement tous, plus ou moins régulièrement. Ce que j’aimerais partager, c’est que sans que j’arrive à me l’avouer, j’avais peur du Lyme en me répétant consciemment ou non, que je ne me priverais pas de la forêt, que j’essaierai d’avoir une attitude lumineuse ou reconnaissante en l’abordant... Je pense que vous me comprenez.

Pourquoi cette approche a-t-elle alors réalisé la route inverse ?
Paracerque l’intention réel était de nier la peur. Avoir une intention de reconnaissance en laissant dormir la peur dans le chaud terreau de l’inconscience est une semence très efficace. C’est plate à lire. Ça choque souvent. Rassurez-vous, c’est normal et même divin cette irritation.

Le plus gros miracle que j’ai vécu avec le Lyme n’est pas la guérison sans avoir eu recours au protocole médical, ni aux antibiotiques. C’est de découvrir avec étonnement une libération d’une peur complétement dissimulée sous quelques stratégies pour la nier. Plus qu’une libération, je dirais une reconnaissance absolue bercé d’un sentiment de liberté indescriptible. Une puissance. C'est la mort de la peur du Lyme qui est survenu.

Alors qu’en est-il de la panique actuelle dans ce passage qui ressemble à un premier chaos mondial de l’ère moderne. Évidemment, les protocoles actuels ici au Québec, ne sont pas là par crainte de la mort car il n’y en a peu au final (il y a suffisamment de statistiques qui circulent en ce sens). Comprendre ou admettre que l’efficacité de la propagation est indéniable n’est pas difficile. Qu’elle soit naturelle, réelle ou fictive. Tirée de complot ou non, implantée par les médias, par des élites, par une stratégie de peur, par une fabrication d’arme biologique relâché accidentellement ou non. Tout ça importe peu. Il y a simplement quelque chose de contagieux en circulation dans l'humanité. Et ce n’est pas cette expérience d’indisposition virale et de protocoles qui est la source d’une forme de lourdeur ou d’hystérie collective. Soyons directs.

La peur de la souffrance, du manque, de la mort, de la misère, de la pénurie, l’incapacité à déceler une intention sombre, la peur de l'isolement, la perte de contrôle ou de liberté en est certainement la cause. La liste n’est surement pas complète, vous en trouverez d’autres. Bravo si c’est le cas. Soyons honnête avec nous-même. Surlignons clairement nos craintes personnelles et collectives sans craintes de les attirer. Le dévoilement ne les attire pas, c’est une fausse croyance. Car c’est encore une fois de les garder dans le terreau de l’inconscient qui demeure la meilleure méthode pour les faire germer. Alors courage, déterrons ces semences qui s’assècheront rapidement à la lumière du soleil de notre courage. C'est ce que je nous souhaite.


Un regard de compassion


Maintenant que nous sommes rendu jusqu’ici, je présume que vous surmontez assez aisément cette approche qui est probablement en résonance avec votre cheminement. Nous pouvons donc aborder un autre rebondissement. Celle de la panique pour certaines personnes qui déclenchent malgré eux, quelques conflits dans certains marchés pour certains produits. Je sais qu’en observant de chez soi sur des réseaux, des images de gens paniqués, nous déroutent un peu. Il semble y avoir autant d’observateurs ahuris que d’acteurs de ces scénarios. Au final, ce sont les mêmes personnages, mais à plus ou moins un moment de leur vie ou de leur cheminement. Cette expérience de panique est non seulement inévitable mais presque la seule qui permet d’emmagasiner la honte de ;les avoir consommé. Conduisant espérons-le à un dégoût de soi-même en insufflant au passage un désir d’une meilleure version de soi-même dans un proche avenir. Qu’une grande quantité de personnes trébuchent et touchent publiquement le point culminant de leur panique ou de leur frustration, est une grande porte qui s’ouvre enfin vers la libération d’une image trop longtemps englouti sous des décombres d’intentions parfois mal emballés.

Le droit à son moment de panique. Le droit de se dévoiler publiquement sous l’œil de plusieurs témoins et de quelques cellulaires allumés. Le démantèlement du déguisement qu’était, il n’y a pas si longtemps, le bon voisin prévenant. La honte engrangée après ces quelques expériences de panique individuelles et collectives, fera ressortir une envie de bonté réelle et insoupçonnée par l’expérienceur lui-même et qui sera une bénédiction pour notre humanité en devenir. Qui sait, les pires seront peut-être les meilleurs dans la prochaine étape à venir. Souhaitons-le.

Il arrive bien sûre de vivre des situations que nous n’avons jamais imaginé et qui nous prend par surprise. Accepter sa réaction abêtie (si c’est le cas selon notre perception) est probablement une humiliation difficile à simplement s’accorder mais elle est à mon sens, tout de même efficace en tenant compte qu’elle se dépose dans notre banque d’expériences similaires qui nous servira divinement dans pas si long. Alors l’échec n’est pas un échec. Une simple partie remise.


Une tournée dans un monde complotiste
(Vous pouvez arrêter votre lecture ici, ce qui suit n’a peut-être aucun sens évolutif pour vous)



Ça c’est intéressant. Ici ce n'est pas pour donner crédit aux exténuantes théories du complot ni pour les amoindrir. Mais allons faire une tournée là-dedans pour arrêter de rester en surface. Parce que là, je ne sais plus si nous sommes en révolution de la 5G ou à l’ascension de la 5D.
Certain se demande quel est l’intention de ce mouvement mondial. S’il s’agit bien sûre d’une mascarade orchestrée.
Peut-être la vaccination obligatoire qui se pointe comme certains l’ont déjà soulevé ? Mais ça na s’arrête pas là. Dans ce cas-ci, il est primordial d’aller plus loin. Car il est inutile de créer un tel branle-bas mondial pour une simple vaccination obligatoire.
Qu’elle est d'abord l’agenda d’une vaccination obligatoire ?

En général, dans la vision complotiste, ça se passe comme ça :


1-  Apparition d’un danger potentiel (réel ou fictif, pas important mais on est dans le complot volontairement là)
2- Diffusion des premiers cas.
3- Déni de la propagation
4-  Déclaration officielle de la Propagation
5-  Angoisse programmé et/ou involontaire
6- Protocoles progressifs
7- Protocoles éprouvants
8- Annonce d’une solution vaccinale possible
9- Annonce d’un vaccin efficace
10- Annonce d’une pénurie de vaccins (dans le but de faire élever le désir du vaccin)
11- Annonce du vaccin obligatoire.

Mais une vaccination obligatoire juste pour le trippe d’un vaccin obligatoire, ce n’est pas un but.
Que va-t-il se passer d’après vous ?
Comment vont réagir et que vont faire les anti-vaccins ?
Comment les pro-vaccins vont réagir face à la réaction des anti-vaccins ?
Comment vont être calomniés les anti-vaccins ?
Ce n’est pas le virus, ni le vaccin qui est en cause. C’est le débat sur l’obligation vaccinale. C’est un déchirement entre une philosophie de pensée contre une autre qui se prépare. Une guerre sans armes. Un déchirement imprévu. Une colère insoutenable d’un camp contre une colère insoutenable dans l’autre. Un gouvernement avec la menace d’une DPJ, d’une armée de médecins, de militaires et de policiers contre les dénaturés et dangereux anti-vaccins. Pourtant comme le dit une amie : <Mais si le vaccin est si efficace, qu’ont dont à craindre les vaccinés ?>

Ça sens pas bon ce qui approche. Je ne crains nullement le virus, ni le vaccin en tant que tel. Je ne suis pas dérouté par la réaction de panique presque violente de notre peuple ici, pas surpris en fait. Mais la guerre entre pro-vaccins et anti-vaccins sera cruel et elle le sera dans un but sombre qu’il reste à déchiffrer.
Vers où nous conduit tout ceci ?
Isoler et casser les récalcitrants ?
Une expérience d'isolement face à nous-même ou avec nos proches ?
Une évaluation du comportement de l’humanité en situation de crise ?
Préparer l’humanité à l’annonce d’une réalité extraterrestre ?
Aucun agenda mais simplement la résultante de notre création et de nos expériences ?
La réponse de dame nature face au virus qu’est devenu l’humanité ?
Tout ceci n’est que réflexion. Peut-être un ressenti.
Quelques mois nous donneront des réponses...

Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison