samedi 19 juillet 2025

Processus de « Cumanà – Unifier Cœur et Esprit »

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Cumanà à l’honneur d’être la première ville fondée par les espagnols dans le continent américain en 1521. Son nom dans la langue des indiens qui habitaient la région, veut dire : L’union de la mer et de la rivière.



Au cours de l’automne 2012 j’ai vécu une expérience qui m’a bousculé. Je me suis réveillé en pleine nuit avec le souvenir d’une flûte que j’ai toujours trouvé étrange et que j’apportais parfois avec moi (dans mon sac à dos en canevas) avec l’espoir de parvenir à en jouer lors de nos soirées improvisées au tour du feu. J’ai pris conscience que je n’avais pas beaucoup pris soin de cette flûte insolite. J’étais contrarié de ne pas savoir comment en jouer. J’ai même presque souhaité l’oublier dans les herbes ou la donner parce que je n’arrivais pas à saisir son fonctionnement.
Spontanément après ce réveil, je savais maintenant le fonctionnement de cette étrange flûte. Je me suis réveillé ébranlé avec une profonde peine comme il ne m’est jamais arrivé d’en vivre pour un objet matériel. Je vivais un mélange de colère de ma négligence. Mon émoi était tellement puissant que je me suis levé pour chercher pendant 2 heures toutes les boîtes possibles de la maison où j’aurais pu la ranger (nous avions déménagé souvent et encore beaucoup de chose se trouvaient dans des boîtes). J’ai continué mes recherches le lendemain et plusieurs jours mais en vain. Pendant 2 semaines je me suis interrogé sur mes souvenirs. L’avais-je donné ? L’avais-je égaré ? Perdu ?
Par moment, il m’arrivait d’avoir des doutes sur la réalité de ces souvenirs, puis les minutes suivantes : « Mais non voyons, je m’en souviens très bien… » Sa texture, sa forme, sa couleur, son vernis quelque peu écalé à certain endroit et aussi de mon sac à dos en canevas vert (que j’ai eu effectivement plusieurs années durant). Je suis devenu presque obsédé par ce souvenir. Après trois semaines, j’ai déduit que cette nuit-là, j’ai été empreint d’un souvenir.
Par qui, par quoi et pourquoi, je ne le savais pas. Rien de bien malfaisant. Rien avoir non plus avec un rêve oubliez ça. Après 15 secondes de réveil, c’est bien assez pour savoir que l’on vient de se sortir d’un rêve. Mais aucun rêve ne vous amène à vous lever drastiquement et si activement au milieu de la nuit. Et encore moins pour continuer des recherches pendant plusieurs semaines quasiment comme un zombi.


La mise en action






Je me suis mis à dessiner cette flûte (ci-haut) à partir du souvenir que j’en avais. Les jours qui ont suivis n’ont pas réduits les éléments mystiques. Je me retrouvais maintenant avec la tâche de concevoir cette flûte et d’en jouer uniquement le 21 décembre 2012 à 3h33 du matin au bord de la rivière qui se trouve derrière notre maison (Estrie, Québec). La fameuse date de toutes les fins du monde. Pourtant je sentais bien qu’il ne se passerait pas grand-chose à cette date archi-médiatisée. 

Pourquoi au bord de la rivière à cette date?

Le 21 décembre au Québec, « Y fait frète » tout est gelé !!!

À n’y rien comprendre…

Après avoir effectué le dessin, j’ai passé la nuit à recevoir ce genre d’indications. Une histoire qui contraste avec nos habituels quotidiens dépourvus de magie.


L’artisan miracle

J'ai raconté mon histoire à un ami que je considère magicien tellement il a le don de fabriquer des choses inusités là où la majorité abandonne. Christian-Maurice Duval ne semble pas avoir de limite pour la mise en matière de chose aussi complexe que délicate. C’était un défi à la grandeur de ses capacités. Il a accepté cette tâche même s’il n’avait jamais fabriqué d’instrument de sa vie actuelle. Ni lui, ni moi ne savions dans quels matériaux nous devions concevoir cette bizarrerie, ni ses dimensions précises. Je pouvais lui montrer la grandeur d’ouverture que ma main avait quand je tenais l’instrument (car le souvenir du toucher était également bien présent). Nous avons dû laisser la nuit nous conseiller pour pressentir comment nous pourrions procéder pour le matériau. Quel bois ? Quel arbre?

La nuit fit encore sa magie. Il m’est venu l’idée folle d’utiliser l’extrémité de mon didgeridoo. (Cet instrument qui est fait d’une longue pièce de bois et qui est joué par les Aborigènes du Nord de l'Australie ). Christian n’en revenait pas que j’allais permettre ça. J’ai dû le convaincre de le faire, presque supplié si ce n’était pas sous la menace de le torturer. Nous en avons bien ri.

L’homme mis ses lunettes, fit quelques recherches sur Internet pour comprendre la conception des flûtes et se mit à la tâche avec passion. Où couper ? Quelle longueur? Où placer l’embouchure? Quelle largeur la faire?  À quelle distance? Tous ces détails étaient sous sa responsabilité maintenant. Il déposait de temps à autre son travail pour laisser la réflexion se manifester et poursuivre quelques jours plus loin. Il avait un « deadline » le 21 décembre 2012.


Des synchronicités impossibles

Pendant ce temps, comme nous approchions Noël, je m’étais engagé au « Marché de Noël » de notre région pour présenter mes compositions. On me donna un kiosque intérieur juste à côté du piano dans la salle de spectacle de notre village. Durant ces jours passés au kiosque, il m’est venu spontanément une nouvelle composition comme il m’arrive souvent en touchant un nouveau piano. Un joli petit air que je pris soin d’enregistrer sur un appareil pour une orchestration futur (comme des centaines d’autres)

Les jours avançaient à grand pas vers notre date fatidique, de sorte que mon ami me livra la marchandise juste à temps avant l’événement prévu. J’avais la flûte entre mes mains (ci-bas) mais absolument aucun droit d’en jouer ni même de l’essayer juste pour voir. Rien.









Les heures approchaient, je me préparais à combattre le réveil nocturne imposé. Ne pas se lever ou laisser faire lorsqu’arrive la nuit est facile de décision. Je me suis empreint de volonté pour ne pas écouter les jérémiades de l’humain qui proposait de continuer à dormir. Je me suis levé en commandant au corps de me suivre. Il était 3h15 et je me préparais à jouer pour 3h33 précise. Dehors, ce n’est rien de moins qu’un mélange de pluie et de grêlons qui pincent la peau de tous les fous qui sont dehors à 3h33 dans un matin de fin du monde. J’ai pris à la dernière minute, mon micro-électronique que j’ai inséré dans le gousset d'un appareil photo pour le protéger. Je portais des gants pour me réchauffer les mains mais que je devrai enlever pour expérimenter les premiers cris du nouveau-né.
Je suis rendu à la rivière et le seul bruit que l’on entend, ce sont tous ces grains moitié eau, moitié grêlons qui frappent tout ce qui bouge ou pas. Le moment était venu, pas le droit d’hésiter, ni de se demander comment ça marche, ni la permission de faire le moindre test. Tu commences là, ou tu retournes te coucher dans ton quotidien banal pour le reste de ta vie.
Je m’exécute, hésitant dans mon corps mais pas dans mon esprit. Je ne sais même pas combien de temps je dois me produire. Je souffle dans le Cumanà, le son démarre dans ce cancan de petits grêlons qui cherchent à picorer mes mains nues déjà gelés. Je continu l’expérimentation et je fais des modulations sans savoir ce que je suis en train de faire. Le micro est à demi enfermé pour qu’il ne soit pas trop aspergé d’eau et de grêlons. Ceux-ci cherchent à le frapper comme ils le font sur moi. Après environ deux minutes, s’en était assez. Je ne savais plus quoi faire et mes doigts étaient maintenant surgelés, je dois les réchauffer. La séance est terminée. Je ferme le micro avec l’intention de ranger tout ça, car cet enregistrement chaotique ne servira à rien…


Le résultat

Ma vie est suffisamment passionnante, je n’éprouve pas la nécessité d’agrémenter mes expériences subtiles même s’il semble que j’en reçois une part plus élevée que la majorité. Je suis simplement réceptif, dédié et en accord avec la réception de ces expériences. Je me suis libéré de mes croyances et de mes limites. J’ai fait mes démarches et je me sens libre de ce genre de résistances (car ce n’est que ça).



Les jours qui ont suivis le 21 décembre sont un peu confus dans ma mémoire mais il me semble que rien de particulier ne se soit produit socialement. Comme je m’en doutais, le seul événement essentiel de tout ce cancan de fin du monde est une certaine libération de toutes ces prédictions pathologiques qui empestaient l’esprit de notre communauté. Nous avions maintenant la joie de passer au moment présent. C’était la réflexion que j’entretenais.





Pour revenir à l’enregistrement du micro numérique, je me suis demandé qu’elle note pouvais bien détonner le Cumanà fabriqué au hasard par Christian-Maurice. J’ai pris mon accordeur et à ma très grande surprise, Christian est arrivé sur un « Mi » d’un accord parfait. De toutes les flûtes indonésiennes que je possède (environ une dizaine) aucunes n’arrivent à détonner aussi parfaitement dans sa gamme. Je pensais bien que cet instrument aurait eu un son beaucoup plus grave. Ce qui est le cas uniquement lorsque l’on emploie l’autre main pour couvrir progressivement son embouchure opposée. C’est ce que j’ai fait spontanément la première fois.

Je me suis mis à l’écoute de la trame audio du Cumanà. Avec tous ces bruits de grêlons et de pluie, je ne voyais pas ce que je pourrais bien en faire. Soudain, je reçois une forte inspiration complètent folle de combiner la nouvelle orchestration (composé sur le piano du marché de Noël) à la section enregistrée du Cumanà. Comment les deux pourraient-ils bien se marier ensemble? Ils ont peu de lien l’un et l’autre. Ce sera une catastrophe cacophonique assurément ou il faudrait un hasard démesuré juste pour coïncider sur les différents accords qui n’ont pas tous des « Mi ».

Le miracle s’est produit. La patente que j’ai soufflée à 3h33 s’ajuste parfaitement aux accords de la composition. Pas juste une, tous les accords et à tout moment. La superposition est miraculeuse, parfaite et non reproductible en laboratoire. Elle sera donc rangée aux oubliettes par la science moderne qui a horreur des inexplicables et qui fait perdre leur crédibilité à ceux qui osent honorer les synchronicités. 

Comment un instrument créé par un artisan à partir du souvenir de l'un et joué par l'autre pour la première fois peut-il s’ajuster à une composition créer quelques semaines avant même la création de l’instrument et sans aucun paramètre prémédité ??? Pourtant la mélodie et les accords se fondent l’un dans l’autre. Les modulations finissent tous en consonance sur l’accord suivant dans une harmonie inexplicable.

Pour le moment je dois me convaincre que les petits grêlons font partie d’un élément mystique important dont je n’ai pas encore fait de lien particulier pour l’expliquer mais les deux pistes se sont miraculeusement unifiées


Marie-Josée Larouche Médium inspirée

J’ai raconté mes souvenirs à Marie-Josée qui est dotée d’un certain sens de la médiumnité. Elle me sourit et me dit que l’on me remerciait d’avoir ramené l’instrument dans cette réalité. Je n’ai pas trop compris qui était ces « On ». Peu importe. Elle tenta de m’indiquer au mieux que le nom de l’instrument était : Cumanaé… Ce n’était pas claire parce qu’il semblait y avoir un accent sur une lettre. Je me suis mis au travail et le mot a été retrouvé sur internet.

J’ai été secoué de constater que « Cumanà » situé au Venezuela est une ville dont la signification indienne était l’union de la mer et de la rivière. C’était le seul mot qui commençait par Cuman… et le seul possédant un accent sur une lettre. Avec tous les mots existants, nous sommes arrivés sur la contrée qui à l’honneur d’être la première ville fondée par les espagnols dans le continent américain et il ne peut y en avoir qu’une. L’union de la mer et de la rivière. L’enregistrement sur le bord de la rivière retrouvait symboliquement tout son sens. Que vais-je découvrir dans l’historique de cette ville si je m’en donne le temps?

Une partie du mystère de Cumanà s’est manifesté 9 ans plus tard avec deux dates significatives. Soit le 13 Mars 2021 où j’ai été reçu à l’émission Zone Parallèle avec Jean Casault

Lien : ZONE DU 13 MARS 2021

Et le 13 Novembre 2021 à l’émission du même titre ou Jean recevait cette fois Marcel son histoire de ceinture de Photon.

Lien : ZONE DU 13 NOVEMBRE 2021

J’ignorais avant mon entrevue ce que Jean Casault avait vécu concernant son expérience personnelle avec la date du 21 décembre 2012 et encore moins le truc avec la ceinture de photon 8 mois plus tard.

Cumanà c’est une brochette de synchronicités qui n’est pas encore toute consommées. Il y’a tellement de synchronicités manifestées et qui se poursuivent que j’en aurait encore pour un autre page d’histoire.






Notre cartésien sentencieux refuse presque toujours de s’associé à des événements subtils sans une preuve irréfutable mais c’est un raisonnement futile puisque les événements subtils fuient comme la peste le cartésien inepte à les accepter et/ou les comprendre. Attendre la preuve des mondes subtils est aussi idiot que d’attendre le train dans le fond de l’océan. Les mondes subtils n’attendent que notre décision pour partager notre quotidien. Le courage de refuser la logique est le seul acte déterminé pour dissoudre le mur nous séparant de tous ces mondes enivrants. Puisse cette mélodie qui vous est offert (voir abonnement à musicdream.ca) vous apporter le courage d’unir votre Cœur et votre Esprit sans que le décevant cartésien ne vienne corrompre toutes les occasions que ces mondes subtils ne cessent de proposer à notre conscience étourdie par les différentes distractions sociales.


Jean-Bruno Gagnon
Alchimiste en musique inspirant l’Auto-Guérison
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Indications pour une libération cartésienne avec Cumanà-Unifier Cœur et Esprit
Vous munir d’un lecteur et d’écouteur pour l’expérience. Choisir une date symbolique pour vous. Cédulez ce rendez-vous avec vous-même pour 3h33 le matin. Vous mettre en situation de recevoir et démarrer la lecture de la musique.


jeudi 24 octobre 2024

Dream Affinity - Préserver l’Amitié




Dream Affinity, de l’Amour dans sa plus simple et mystérieuse expression, l’énergie de vie, le feu de la vie.  Ce n'est pas un amour impossible, inatteignable, défendu, même pas quelque chose de rare ou de grandiose, non. L'amour comme énergie présente partout, en tout temps, à tout moment qui est disponible pour nous lorsqu'on se syntonise avec cette fréquence.

Et une des nombreuses façons de se syntoniser avec l'amour, énergie infinie de vie, c’est la musique. La musique qui nous pénètre, nous traverse sans passer par les filtres de notre mental, pour aller réveiller ce feu, cette lumière de l'amour au fond de nous, au moment où on ne l'attend pas.

C'est ce qui s'est produit la première fois que j'ai entendu Dream Affinity, j'étais distraite, absorbée par une conversation animée avec un vieil ami quand, sans réfléchir j'ai appuyé sur « Play » pour entendre les nouvelles notes tout juste envoyées par mon ami Jean-Bruno.

C'était les balbutiements de ce qui deviendrait Dream Affinity. Quelques secondes plus tard avant que mon cerveau n'ait pu s'en mêler, les larmes coulaient sur mes joues et mon cœur s'ouvrait. Était-ce seulement la musique ?

Était-ce cette conversation avec cet ancien ami ? Était-ce une combinaison des deux ? Comme si la musique venait révéler cet amour toujours vivant, chaud, lumineux, intarissable au fond de moi. Malgré tout, tout, tout.



Il ne s'est rien développé du tout avec cet ami, si ce n'est que ce soir-là j'ai eu accès à cette source d'amour infinie à l'intérieur de moi. Comme ça, sans rien demander. Sans caresse, sans bisous, sans paroles, sans photos, sans cadeau, sans promesse, sans présence autre que la mienne, cette musique m'avait traversée au moment de cet échange et, ce soir-là j'avais ressenti la puissance de ce feu de la vie qui brûlait toujours en moi, mais ça m'aura pris 6 mois pour reconnaître ce feu, le nommer et l'honorer. Cette sensation est revenue souvent depuis et m'a donné accès à de la compréhension et de la Guérison et j'ai beaucoup de gratitude pour ça.

Je veux honorer, cultiver, remercier, reconnaître, nourrir, élever, entretenir, partager ce feu de vie autant que la vie me permet de le faire et de la façon la plus juste à chaque fois.

                                                                                             -          Ève Sano-Gélinas



L'amitié sincère et profonde est un trésor précieux qui illumine la vie et apporte une chaleur inestimable. C'est un lien profond qui se tisse entre deux âmes, basé sur la confiance, le respect et la bienveillance. Cette forme rare d’amitié est une source de réconfort dans les moments difficiles et une célébration de la joie dans les moments heureux.
 

Comme une fleur fragile, elle a besoin d'attention et de soins pour s'épanouir. Elle doit être protégée des vents violents de la trahison et des tempêtes de l'indifférence. Une amitié sincère et profonde nécessite un engagement mutuel, une écoute attentive et un soutien inconditionnel. 

Étrangement, il arrive qu’elle soit jalousée d’où l’importance de la sollicitude. Des événements mouvementés peuvent émerger pour mesurer la fermeté à la protéger. Engager une vigilance perpétrée pour la mettre à l’abri de l’interruption ou des tentatives sournoises à la dissoudre est un devoir vital. Il faut en perdre une un jour pour comprendre la souffrance qui en résulte dans le parcours d’une vie. 

Lorsque cette rare perle a pu émerger, c’est une priorité de la chérir et la préserver avec amour. Être présents pour cette amitié, soutenir inconditionnellement dans les rêves et les aspirations. S’encourager mutuellement à être ou à devenir la meilleure version de soi-même. 

Une amitié sincère transcende les frontières du temps et de la distance. Même séparés par des kilomètres, les cœurs restent connectés par ce lien indéfectible. Le partage de souvenirs inoubliables, de rires contagieux et de larmes sincères. 

Dans un monde où la superficialité et l'égoïsme peuvent parfois prévaloir, une amitié sincère est une bouée d'espoir et de réconfort. Elle rappelle que je ne suis pas seul, que quelqu'un est là, prêt à tendre la main et à écouter.

Protéger cette amitié sincère avec vigilance et gratitude est une priorité. a nourrir de moments précieux, de conversations profondes et de gestes attentionnés. L'un pour l'autre, dans les bons moments comme dans les plus incertains. Cultiver une amitié qui durera toute une vie est le meilleur fruit qui restera dans une éternelle maturation. 

Car une amitié sincère est une bénédiction qui illumine la vie et rappelle la beauté de la véritable connexion humaine.

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Jean-Bruno Gagnon

Composition, orchestration
Trames musicales pour méditations guidées, thérapies, rémission, hypnose.
Alchimiste en musique d'Auto-Guérison.
Trames pour film, vidéo.
Montage Audio-Visuel
.

Site : www.musicdream.ca

mardi 22 octobre 2024

L'amour encadré






Une relation amoureuse a besoin d'un mélange juste entre la confiance, la sécurité et la liberté.

Imposer un cadre unilatéralement basé sur ce que je ne veux plus vivre ou crains de revivre, conduit le partenaire a exprimer une sensation d’être trop étouffé ou dans une prison.


C'est indéniable, trop de confiance (naïveté autodestructive), trop de sécurité (prison et étouffement) ou trop de liberté (insouciance et dépravation) anéantira rapidement même la plus belle des relations amoureuses.

Il est vital de ne pas construire un interminable et lourd cadre en demandant au partenaire de le porter tout en marchant sur des œufs et avec une épée de Damoclès au-dessus de sa tête. C'est au-delà de capacités humaines. Même Dieu ne restera pas dans cette situation.


Un petit cadre léger construit sur ce qui uni le « NOUS », quelques œufs à éviter pour l'un et pour l'autre en assumant seul l’épée de son existence nourrira la relation dans une paix durable.

Si vraiment il y’a besoin d'un cadre pour sécuriser l’un ou l’autre, qu'il soit jolie, léger et construit avec le partenaire et non uniquement avec ce que je ne veux plus vivre ou ce que je crains de revivre.

Car si je décide sincèrement la guérison en moi et comprends que je n’ai plus besoin de revivre ce que j’ai vécu, il est bon de savoir que la vie m'as entendu et à mis un partenaire dans le chemin le plus sage qui soit et dans le temps le plus juste.

Et oui, ça prend du courage pour remettre la confiance dans la relation. Mon passé ne doit pas éliminer ou réduire la confiance et la liberté dans la relation qui est maintenant mis sur la route. C'est une noblesse et une loyauté que « NOUS », a le devoir de manifester et que mérite le partenaire.

J’ai créé dans ma vie les circonstances pour mériter la plus belle des relations que j’ai maintenant le droit de vivre. Je n’ai pas besoin de l’affaiblir avec un cadre trop lourd à porter et basé sur des paramètres sociaux et des croyances limités.

En priorisant la sécurité tout en négligeant la confiance et la liberté en quantité suffisante, je perdrai cette relation et ne pourrai n'en vouloir qu'à moi-même


Avant de consommer cette relation déjà prévue merveilleuse, je ne laisse pas les expériences passées, les croyances et les concepts construire un cadre lourd et rigide qui m'empêchera de vivre ce cadeau de la vie…


Je garde à l'esprit que les expériences, les valeurs et concepts changent d'un lieu à l'autre et d'une époque à l'autre. Ce qui me dérange dans la vie de l'autre, sera toujours en premier lieu un élément à guérir en moi. Je m’assure alors de ne pas lancer la première balle d'une partie de ping-pong nocive et interminable. Car si je le fais comme une rengaine, l'autre n'aura pas toujours la patience de recevoir les smashs en plein visage à répétition.

C'est le dérangement qui doit être dévoiler en tout premier lieu (rien d'autre). Dans la meilleure des situations, en tout humilité et en total vulnérabilité sans reproches, sans exigences et sans demandes.

En le faisant ainsi, je toucherai le cœur de mon partenaire et il voudra m'entendre, participer à mon mieux-être et répondre de lui-même à mon besoin s’il y’en a un. Car il voudra mieux aimer et protéger la personne qu'il aime. L'amour, c'est beau quand c'est comme ça.

Ce n'est pas grave que l'un ou l'autre s'échappe de temps à autre (oublie, fatigue, etc.) Ce sera facilement pardonné l'un à l'autre.

Si mon partenaire en arrive à exprimer qu'il ne peut plus en prendre, je sais alors que j’ai fait fausse route et que je manque de confiance intérieure. Voir la dure vérité avec moi-même en dehors de tout égo.

La personne qui m'aime n'est pas un être à guérir ou à changer. Seul mon approche est défaillante. C'est la triste réalité même si je pourrais me refuser à l'entendre pour l'instant.

Jean-Bruno Gagnon

Composition, orchestration
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dimanche 25 août 2024

Harmonia - Réunir les divergences

 

Harmonia est le nom des jardins où je suis allé faire des captures en images et en vidéos pour un admirable projet souvenir. Un lieu où autant les hôtes que le paradis qu’ils développent est au-delà des plus magnifiques ornements privés. Site :  Jardin Harmonia

Aujourd’hui le clavier des lettres est obligatoire pour moi. Quand un mal insistant se place en moi et que rien n’y vient à bout, je fini par m’incliner et/ou comprendre que je suis appelé à traverser un Processus d’une Clef de Guérison et que seuls les mots à faire émerger dans la matière en est le dénouement.  Je suis incapable de faire autre chose. Je suis efficace en rien. Visiblement, je suis en Processus et j’obtiens ma libération qu’en exécutant ce texte.

 

 

Présage relationnel

 

Que reste-t-il après avoir déposé une nuit sur un échange ombreux. Quel sentiment, quelle sensation ? Qu’est-ce qui vis en moi pour mettre en pause tous mes travaux, mes engagements pour que je prenne ce temps inévitable à m’exécuter au clavier ?

 

C’est une sensation d’avoir été abîmé pour engendrer et vivre un drame où il n’y avait pas à en avoir. De m’avoir senti compressé et obligé d’exprimé une réponse incomplète, mièvre sans son contexte et qui n’était pourtant qu’une simple suggestion reçue dans un situation simple, de bonne intention, large et libre.

 

C’est de ma responsabilité de me rendre compte de cette impression désagréable et du piège qui se préparait devant moi. Je n’accepterai plus de me faire une telle violence. Ni à l’autre d’ailleurs.

 

Ces questions pourvu d’une épée Damoclès en supposant que l’autre a assez de cheminement ou d’intégrité pour ne pas l’agencer à son inconfort personnel n’a pas à être inséré dans une relation. Les principes, les valeurs, les paramètres, les croyances non pas être au-dessus de la relation. Ils ne sont rien d’autres que des limites à celle-ci.

 

Les principes changent d’un lieu à l’autre, d’une expérience à l’autre, d’un cheminement à l’autre, d’une génération à l’autre. Ce n’est pas eux qui sont la priorité d’une relation mais c’est plutôt le courage de décider la vulnérabilité qui rend la relation authentique, sensible et sécuritaire.

 


Si je sens cette étrange mais significatif disharmonie en moi, je n’ai pas à répondre à une question qui ne peut avoir de réponse puisque l’autre est à cent mille lieux de comprendre le contexte dans lequel il s’est manifesté. Puisque c’est moi qui en ai été l’acteur. L’autre n’a que son filtre personnel d’interprétation. 
Prendre un segment de réponse pour exposer un dérangement plutôt que d’avoir le courage et l’intégrité de partager directement son inconfort n’est pas et ne sera jamais dans l’ordre d’une relation sécuritaire. Si un inconfort est présent, ce ne sont pas des questions qui doivent surgir mais le courage de la vulnérabilité. Tout autre discourt n’est qu’une fuite dans ses habitudes involutives et de l’égo mal investi. Ce qui est différent d’une discussion sociale où les questions pleuvent autant que les réponses loufoques ou brillantes.

 

Vivre une relation importante tout en maintenant une méfiance, personne n’a besoin de subir ça. Il est plus que nécessaire de faire le ménage en soi et de comprendre que l’autre ne cherche pas à blesser, à heurter ou à trahir. Ce n’est rien d’autre qu’une décision ferme à prendre. Je veux vivre dans des relations où l’autre décide de savoir que je ne cherche pas à le froisser. Et je ne veux pas non plus que mes mots exprimés, écrits ou absents soient traduits pour prouver que j’essaie de blesser.

 

Moi autant que l’autre malgré le passé difficile commun à chacun a le droit de vivre une relation heureuse et épanouie. De ne pas laisser les blessures passées, les paramètres, les croyances ou les valeurs être le fil conducteur absolu d’une relation. C’est un ordre qui doit éviter d’être troublé.

 

Si mon partenaire utilise un bout de phrase,  un morceau de mot ou même une sensation pour en faire le mont Everest je ne pourrai rien y faire. Ce sera toujours démoralisant que l’autre choisi le doute mais c’est aussi en même temps bien normal et compréhensible d’en avoir. Mais un moment donné, une décision doit être prise.


On n’obtient pas la confiance en passant son temps à vérifier si on peut faire confiance. C’est un principe de jardinage que l’on apprend rapidement et avec sagesse en ne déterrant pas les semences pour voir s’ils ont commencé à germer. La confiance inspire la confiance. Le doute amène de la disharmonie et elle s’insère dans la relation que vous le vouliez ou non. Ce qui est évolutif et dans le bon ordre, c’est de risquer la confiance. La décider si l’on sent que notre cœur nous l’indique même au risque de se tromper ou de se faire très mal (et ce n’est jamais une erreur car la vie récupère tout).


Il est vital de comprendre que s’il y’a un heurte, c’est peut-être juste une occasion simple d’échanger, de s’ajuster, de se comprendre et de ne pas laisser les attentes, les valeurs et principes être la tête dirigeante. De ne pas les laisser décider que nous devons avoir une discussion embrouillée plutôt qu’un échange sain et enrichissant.

 

Alors toi, que décide-tu ? Mise à part les horribles cas de manipulations qui sont à fuir, l’autre est-il présent pour essayer de te blesser, de te heurter, de te contrarier? Que dis profondément ton cœur ? As-tu le courage de lui faire confiance ? Peux-tu risquer d’entendre encore les mots de l’autre et de décider qu’ils ne sont probablement pas nécessairement blessants car un contexte complet, une ambiance, l’état passé et actuelle de l’autre t’es simplement inconnu ?

 

 

Réunir les divergences

 


Maintenant que l’ordre et la vulnérabilité à été priorisé, il reste à s’avouer qu’il y aura toujours des divergences malgré notre désir de s’émerveiller de nos affinités et de nos complémentarités.

 

Le jardin Harmonia et ses hôtes Huguette Larocque et Clément Bessette ont réussi un tour de force en unissant l’orient et l’occident dans chacun des secteurs (sans exception) de leur jardin prodigieux. Comme le dit si bien Clément, si tu veux être heureux toute ta vie, cultive un jardin.

 

Le jardin d’une amitié profonde, d’une complicité précieuse ou d’une relation importante sont des occasions formidables d’honorer les polarités et tout ce qui nous différencies. Trouver le courage de la vulnérabilité, décider que l’autre à toujours de bonnes intentions malgré ses maladresses, ses limites, son niveau d’expériences ou de conscience n’est pas un travail impossible à réaliser et demande un effort soutenu et de bienveillance comme ont pu le réaliser Huguette et Clément avec leur jardin

 

J’ai la chance dans ma vie de vivre une amitié profonde qui m’a appris de précieuses étapes pour solidifier et honorer ce jardin d’amitié. Cette amitié, cette complicité, j’ai l’opportunité de la célébrer avec ma complice de musique Ève Sano-Gélinas. C'est un immense cadeau de recevoir vos témoignages, vos anecdotes que vous avez pu vivre avec l’un, avec l’autre ou les deux. Je tente de les partager au mieux avec le temps disponible entre le travail de montage vidéo, l'orchestration de musique, l'envoie de fichiers et l'organisation de prestations musique. Je souhaite conserver les expériences acquis pour vivre de nouvelles relations en priorisant l’ordre que m’ont appris les aléas de la vie. Ils ont été acquis non pas par noblesse mais à force de ne plus aimer mon attitude et mon manque de courage. L’occasion de jardins d'amitié nous attend tous dans un tournant inattendu. Il restera toujours à trouver du courage et de vérifier les intentions et les capacités de l’autre car le chemin harmonieux installé gratuitement n’est pas le vrai sens de la connexion. Nos aidants subtils savent très bien que la connexion doit se forger avec nos efforts…

La musique Harmonia - Réunir les divergences arrive bientôt

« Harmonia - Réunir les divergences » Pour la recevoir assurez-vous d’être inscrit.e à : RECEVOIR LA MUSIQUE

Voir la VIDÉO : Harmonia des deux mondes


Jean-Bruno Gagnon

Composition, orchestration
Trames musicales pour méditations guidées, thérapies, rémission, hypnose.
Alchimiste en musique d'Auto-Guérison.
Trames pour film, vidéo.
Montage Audio-Visuel
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Site : www.musicdream.ca

lundi 14 novembre 2022

Le Chant de la Sirène - Préserver la vulnérabilité

À l’occasion de nos présentations, pourquoi les gens vivent-ils des moments d’une intensité si élevée qu’ils arrivent difficilement à les décrire ? Ils aimeraient inventer des mots pour me les offrir.


Parce que les présentations de Musicdream ne sont pas uniquement des prestations musicales. Le but et l’intention sont de retrouver collectivement ces moments sensibles et vulnérables resserrés dans un vieux tiroir que nous avons appris à dissimuler.

Il existe une structure mystique que j’ai appris à intégrer au fil des prestations. Une mesure délicate que j’ai appris à honorer en demeurant noblement à l’écoute sur les intentions des instigateurs subtiles. Je ne sais pas comment nommer ça. C’est une énergie, un courant puissant inaltérable dans l’invisible, mais facilement friable de notre côté. On peut le briser avec une fraction de l’égo, avec un rien basé sur des intentions mal dirigés.

J’ai appris au cours des années à porter un grand respect à ma destination spirituelle que j’ai maintenant le devoir de porter lors des présentations de Musicdream dont certains moments sont remplis d’une vulnérabilité et d’une intensité inattendues ou inespérées.

Chaque chose y est à sa place et que trop légèrement modulable. J’ai appris dernièrement, à ne plus altérer prioritairement cette conception spirituelle. Dans mes orchestrations, c’est un peu la même chose. Je compose parfois les mélodies de certaines orchestrations orphelines de sa partition à l’aide des différentes pistes qu’improvise Ève. Je ne prends pas ses meilleures performances ni ses meilleures réalisations vocales. Je cueille le moment où le vulnérable et le sensible se manifestent. Il se produit au moment d’une fluidité où moi aussi, je cherche des mots que je voudrais bien inventer pour vous le décrire.

Écrire pour moi un Processus (Clef de Guérison) est une corvée qui aboutit rarement sauf quand je suis conduit dans un entonnoir serre-cœur où il m’est impossible d’en sortir tant la pression est puissante et la douleur aussi insupportable qu’un mal de dents dans l’âme qui vous donne envie de mourir. Dans ces moments mystiques, je me sens horriblement seul et abandonné. Je ne trouve pas la connexion amie pour la transcender. Rien à faire, je n’ai aucune autre avenue que de laisser défiler les mots justes, sans défaillir d’une virgule. Je ne comprends toujours pas comment peut disparaître une telle torsion au fil des mots qui se terminent. Je n’ai pourtant aucune idée de ce dont je dois écrire. Pourtant tout se dévoile en tapant sur le clavier (des lettres cette fois).



L’empiétement spirituel et la vulnérabilité






L’empiétement spirituel est un fait méconnu pour une majorité. Le chemin pour apprendre ou comprendre ce concept en dehors de son cartésien et de ses intentions dissimulées peut être très long et même parfois inaccessible pour certaines personnes. Aussi, il est de notre apprentissage en devenir, de protéger nos proches lorsqu’ils sont en situation de vulnérabilité. De devenir intransigeant au moindre signe. Laisser passer ces situations par hésitation, par incertitude ou par peur de l’action ou de la réaction à un effet boomerang dévastateur qui insuffle au final une rude initiation de courage et de dignité.



Le Chant de la Sirène


J’ai une amie qui à vu ses capacités suspendues par l’incapacité à ce qui aurait dû être son principal soutien dans ses expérimentations sous-marines. Mon amie Chantal a vécu une réelle modification structurale par des instigateurs subtils qui lui permettait de respirer sous l’eau. Pas 1 minute ou deux, mais entre 15 à 30 tant que cela lui étais possible ou autorisé. Ce qui aurait dû être protégé ne l’a pas été. Mais plutôt pratiquement anéanti par la peur et je comprends si bien ce qu’elle a vécu que j’en pleure en secret parfois (ce qui ne sera plus un secret maintenant). Les expérienceurs sont une famille et ils qui se reconnaissent entre eux.

Son livre est d’ailleurs disponible depuis le 3 novembre dernier et s’intitule : LE CHANT DE LA SIRÈNE par Chantal Goupil et fait partie de la Collection Ufologie Profonde dirigée par Jean Casault, de la maison d’édition Louise Courteau. Cliquez ICI : Ufologie profonde

Pour la page Facebook auteure de Chantal : Chantal Goupil


Mon amie Chantal aura la joie de découvrir bientôt l’orchestration « Le Chant de la Sirène » qui m’a été livrée de façon directe dans un rêve en état de semi-réveil (ce qui est extrêmement rare, car le souvenir de mes orchestrations s’évanouit au moindre réveil et est récupéré quelques semaines, mois ou années plus tard dans d’autres circonstances).

Voir : PROCESSUS, première étape


Je ne peux faire autrement. Je n’ai pas d’autre direction possible. Je n’hésiterais pas à perdre mon souffle pour lui rendre le sien. Aurais-je la Clef pour raviver ce qu'il lui est possible de retrouver ? Je le souhaite ardemment si cela est permis. La Clef de Guérison en portera sûrement l’intention. Et c’est Ève Sano-Gélinas qui a eu l’honneur de conduire les pistes vocales et à personne d’autre. Comprendre la vulnérabilité et l’honorer n’est pas donné à tous et des chemins m’ont conduit à aimer sa sensibilité plus que sa voix qui à pourtant un parfum de ciel.

L’incapacité d’accueillir l’incompréhensible est probablement ce qui cause les traumatismes les plus irréversibles dans la spontanéité de ceux qui porte des facultés bousculant trop des parties cartésiennes mal investies d’une partie de notre communauté. Devant la vulnérabilité des ces structures incompréhensibles, nous avons le devoir de devenir une force individuelle et collective. De les accepter et de les préserver de toutes nos convictions, car ils sont notre espoir de transformation à tout jamais.

Le Chant de la Sirène est une Clef de Guérison disponible sur Musicdream (lien plus bas). Comme toutes les autres Clefs de Guérison, elle ne peut être vendue et elle est disponible pour tous les abonnés.es de Musicdream.

Pour entendre la MUSIQUE et voir la VIDÉO cliquez ici : VIDÉO FACEBOOK

Pour recevoir toutes les Clefs de Guérison (pour toujours) Cliquez ICI : CLEFS


Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

www.musicdream.ca


dimanche 9 mai 2021

Le Chant de la Sirène - Processus d’une nouvelle mélodie

Nous avançons à l’entrée de ce qui est un rendez-vous à un rassemblement où nature, cohabitation, art et musique seront célébrés autant de jour que de nuit. Nous sommes arrivés à l’entrée. Je suis avec Ève et probablement Charles avec son violon mais il me semble très jeune dans cette scène car voyez-vous, je vous raconte l’état de réveil et de rêve en ce 9 mai 2021 jour des mères.



À l’accès, un gardien demande de ne pas entrer avec le violon, il le conservera dans la camionnette juste à côté. Je comprends rapidement que l’on veut éviter des concerts improvisés trop cacophoniques d’une place à l’autre. Je tente de lui expliquer que notre ami fait parti de la prestation du soir mais le gars semble embêté ne sachant trop quoi faire. Bref! Nous avançons dans ce territoire rempli de verdure, de sentiers et d’habitations. Nous sommes bien, très bien, entre le jour et la nuit.  Je perds Ève de vue qui s’évapore dans ce décor qui inspire la liberté. Je me perds moi-même et dépose dans un endroit un peu secret l’instrument que j’apportais avec moi (peut-être le violon du peut-être Charles, c’est pas claire). En repassant sur mon chemin après quelques aventures brumeuses en promenade, je ne me souviens plus où j’ai mis l’instrument. Je suis embêté et peiné.

 

Le miracle de la création

Je me réveil en semi-coma. Là, il se produit ce qui m’arrive rarement en création de nouvelles mélodies. La mélodie qui parcourait mon rêve est disponible, là dans ma tête et ma mémoire. C’est intense et magnifique. Il y’a le piano en frappe aux mesures, le violon en arpège et la voix de Ève haute en chant de sirène. Je dois refaire jouer le souvenir dans ma tête car celui-ci s’évanouira dans pas long. J’ai tendance à vouloir me rendormir, c’est facile et tentant. Je me lève déterminé à ne pas laisser passer l’occasion. Je suis loin de la musique, trop loin depuis que je fais de la vidéo.

 

Le chant de la sirène



Il y’a un mois, j’ai échangé avec Ève sur le processus de ma nouvelle complice de radio Chantal Goupil qui a partagé un rendez-vous radio suivant le mien avec Jean Casault à l’émission Zone Parallèle plutôt animé en général par Carole Lauzé :

https://969fm.ca/emissions/zone-parallele/zone-parallele-10-avril-2021


Devant ce que je lui racontais de l’histoire de Chantal, son livre à venir et son titre : Le Chant de la Sirène *  Ève me dit : Wow! Ça ferait un beau titre de musique. Bang! Il ne m’en fallait pas plus. Sur le champs, j’ai été envahi par une forte pulsion de créer quelques créations inspirées. Depuis un mois, je me dis que je vais partager tout ça à Jean et Chantal. Bon, chose que je fais aujourd’hui finalement. On n’arrête pas la création son moment venu...

* Le Chant de la Sirène paraît le 3 Novembre 2022 au Québec aux Éditions Louise Courteau dans la série Ufologie profonde que dirige Jean ici au Québec.

COLLECTION UFOLOGIE PROFONDE


Un effort généré par la volonté de la créativité

Je me lève donc. Mes sous-vêtements sont disparus. Ça urge, je n’ai pas beaucoup de temps, la mélodie s’évanouira. J’en prend de nouveaux et pas le temps de mettre autre chose. Zut! Mon clavier n’est pas branché. Je lui avais emprunté sa rallonge. Je m’en occupe tantôt, je ne dois pas perdre l’orchestration (dont les accords, l’ambiance et le Processus me font penser à Jessia-Le langage du Divin) :

https://youtu.be/C5p_y2MUabc


Et c’est tant mieux car si je n’arrive pas à la bonne note sur le piano, je risque de faire s’évanouir la majorité du contenu subtil en une seule erreur. Je saisi mon micro électronique et en voix secrète doucement, je tente de retrouver des graciles d’accords et de mélodies. J’augmente l’intensité en m’assurant de ne pas être défaussé. Je réussi assez bien, je tente le coup au piano. L’enregistrement étant sécurisé, je ne peux plus perdre le principal. Je rebranche le clavier. Je retrouve à l’aide de l’accordeur en quelle tonalité j’ai saccagé la mélodie de ma voix cette nouvelle orchestration. C’est en Fa dièse (ou sol bémol, c'est la même chose Jean). Je reconnais effectivement les accords de Jessia mais dans une autre tonalité. 

Après une pause trop longue, le médium inspiré comme aime bien le commenter Jean, se remettra sous peu en Connexion à la Création pour répondre à ce besoin vital de la communauté en manque de beauté et de paix du cœur... Question de guérison.

Un extrait à venir bientôt.

 

Jean-Bruno Gagnon

Alchimiste en musique inspirant l'Auto-Guérison

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